Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme pour la quatrième journée consécutive ce jeudi, s'élevant vers un pic des deux dernières semaines, retrouvant les faveurs des investisseurs sur fond de craintes liées à la crise de la dette de la zone euro et d'aggravation des tensions géopolitiques entre l'Iran et l'Occident.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 621.65 USD de l'once en ouverture de séance euuropéenne, prenant 0.55%.
Ils avaient précédement culminé à 1 626.75 USD, leur meilleur cours depuis le 21 décembre, avec 0.82% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 594.05 USD, leur plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Le métal précieux a redoré son blason de valeur sûre avec la nouvelle année, ne suivant plus les évolution des actifs risqués et rejoignant plutôt le dollar U.S. tandis que flottait encore la menace d'une dégradation sommaire des pays membres de la zone euro.
La France doit en effet émettre jusqu'à 8 milliards d'euros en bons du trésor à trente ans, au lendemain de la faible performance des obligations décennales de l'Allemagne.
Il est généralement estimé qu'elle court un grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, ce qui pourrait encore fragiliser la monnaie unique en cas de mise aux enchères peu satisfaisante.
Ce retour en grâce s'est trouvé souligné par le ravivement du conflit entre l'Iran et les Etats-Unis concernant le programme nucléaire de la république islamique, le pétrole dépassant les 103 USD du baril, leur plus haut niveau depuis début mai, tiré vers le haut par l'intention déclarée de cette dernière de fermer le détroit d'Ormuz en cas de sanctions.
Les hausses du brut ont tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, augmentant son attrait en tant que garde-fou contre l'inflation pétrolière.
Citigroup, une des banques des plus en vue de Wall Street, a pour sa part déclaré hier que le mouvement de vente du métal jaune des derniers mois de 2011 avait "fait son temps et qu'un rebond était à l'ordre du jour".
Elle a rajouté: "A moins que la semaine ne voie un clôture sous les 1 535 USD, la remontée de l'or devrait reprendre, et peut-être se poursuivre jusqu'à 2 400 USD tout au long de l'année."
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 1.1% pour grimper à 29.41 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.25% pour se retrouver à 3.442 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 621.65 USD de l'once en ouverture de séance euuropéenne, prenant 0.55%.
Ils avaient précédement culminé à 1 626.75 USD, leur meilleur cours depuis le 21 décembre, avec 0.82% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 594.05 USD, leur plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65 USD, leur plafond du 21 décembre.
Le métal précieux a redoré son blason de valeur sûre avec la nouvelle année, ne suivant plus les évolution des actifs risqués et rejoignant plutôt le dollar U.S. tandis que flottait encore la menace d'une dégradation sommaire des pays membres de la zone euro.
La France doit en effet émettre jusqu'à 8 milliards d'euros en bons du trésor à trente ans, au lendemain de la faible performance des obligations décennales de l'Allemagne.
Il est généralement estimé qu'elle court un grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, ce qui pourrait encore fragiliser la monnaie unique en cas de mise aux enchères peu satisfaisante.
Ce retour en grâce s'est trouvé souligné par le ravivement du conflit entre l'Iran et les Etats-Unis concernant le programme nucléaire de la république islamique, le pétrole dépassant les 103 USD du baril, leur plus haut niveau depuis début mai, tiré vers le haut par l'intention déclarée de cette dernière de fermer le détroit d'Ormuz en cas de sanctions.
Les hausses du brut ont tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, augmentant son attrait en tant que garde-fou contre l'inflation pétrolière.
Citigroup, une des banques des plus en vue de Wall Street, a pour sa part déclaré hier que le mouvement de vente du métal jaune des derniers mois de 2011 avait "fait son temps et qu'un rebond était à l'ordre du jour".
Elle a rajouté: "A moins que la semaine ne voie un clôture sous les 1 535 USD, la remontée de l'or devrait reprendre, et peut-être se poursuivre jusqu'à 2 400 USD tout au long de l'année."
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 1.1% pour grimper à 29.41 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.25% pour se retrouver à 3.442 USD la livre dans le même temps.