Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce jeudi après-midi, la confiance ayant été malmenée par le spectre d'un retour de la crise européenne.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'atmosphère s'est en effet encore assombrie après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques de la zone euro, ait fait savoir que le produit intérieur brut de cette dernière avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il a du coup fondu de 0.9% d'une année sur l'autre, alors que 0.7% avaient été pressentis après les 0.6% du second trimestre.
Cette tendance avait émergé après que des chiffres émanant des autorités aient mis en évidence ce matin des coups de freins dépassant les craintes pour l'Allemagne, la France et l'Italie dans le même laps de temps.
Les compagnies aériennes étaient sur le devant de la scène, après que les conseils d'administration d'Aerican Airlines et US Airways aient entériné leur fusion, donnant naissance au plus gros acteur mondial du secteur.
Leurs directeurs généraux respectifs devraient en faire l'annonce officielle aujourd'hui, lors de conférences à Dallas, au Texas, et à Tempe, dans l'Arizona.
Le constructeur aérien Boeing grignotait pour sa part 0.08% après la clôture, après avoir nié toute action frauduleuse de la part de ses cadres, après qu'un syndicat représentant ses mécaniciens et son personnel technique ait accusé son personnel de sécurité d'avoir intimidé certains de ses membres lors de votes portant sur des réformes des contrats de travail.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté que les deux vols d'essai de son appareil 787 Dreamliner récemment effectués n'avaient pas révélé la cause du problème de batterie ayant imposé le maintien au sol de tous ses exemplaires, le forçant à trouver des solutions de rechange plus rustiques en attendant.
L'informatique n'était pas non plus à négliger, après que Cisco Systems ait revendiqué hier des résultats trimestriels supérieurs aux estimations, bien que sa directrice générale Joan Chambers ait averti que le tableau comportait certaines nuances.
Le secteur voyait aussi Applied Materials, premier fournisseur d'équipement de fabrication de puces informatiques, dépasser les performances espérées sur cette période, profitant de la vigueur des intelliphones et des tablettes électroniques.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Agilent Technologies, PepsiCo, Molson Coors Brewing Company et CBS, dont les proclamations étaient bientôt attendues.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.95%, le CAC 40 français de 0.86%, le DAX 30 allemand de 1.16% et le FTSE 100 britannique de 0.78%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.85%, et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'atmosphère s'est en effet encore assombrie après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques de la zone euro, ait fait savoir que le produit intérieur brut de cette dernière avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il a du coup fondu de 0.9% d'une année sur l'autre, alors que 0.7% avaient été pressentis après les 0.6% du second trimestre.
Cette tendance avait émergé après que des chiffres émanant des autorités aient mis en évidence ce matin des coups de freins dépassant les craintes pour l'Allemagne, la France et l'Italie dans le même laps de temps.
Les compagnies aériennes étaient sur le devant de la scène, après que les conseils d'administration d'Aerican Airlines et US Airways aient entériné leur fusion, donnant naissance au plus gros acteur mondial du secteur.
Leurs directeurs généraux respectifs devraient en faire l'annonce officielle aujourd'hui, lors de conférences à Dallas, au Texas, et à Tempe, dans l'Arizona.
Le constructeur aérien Boeing grignotait pour sa part 0.08% après la clôture, après avoir nié toute action frauduleuse de la part de ses cadres, après qu'un syndicat représentant ses mécaniciens et son personnel technique ait accusé son personnel de sécurité d'avoir intimidé certains de ses membres lors de votes portant sur des réformes des contrats de travail.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté que les deux vols d'essai de son appareil 787 Dreamliner récemment effectués n'avaient pas révélé la cause du problème de batterie ayant imposé le maintien au sol de tous ses exemplaires, le forçant à trouver des solutions de rechange plus rustiques en attendant.
L'informatique n'était pas non plus à négliger, après que Cisco Systems ait revendiqué hier des résultats trimestriels supérieurs aux estimations, bien que sa directrice générale Joan Chambers ait averti que le tableau comportait certaines nuances.
Le secteur voyait aussi Applied Materials, premier fournisseur d'équipement de fabrication de puces informatiques, dépasser les performances espérées sur cette période, profitant de la vigueur des intelliphones et des tablettes électroniques.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Agilent Technologies, PepsiCo, Molson Coors Brewing Company et CBS, dont les proclamations étaient bientôt attendues.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.95%, le CAC 40 français de 0.86%, le DAX 30 allemand de 1.16% et le FTSE 100 britannique de 0.78%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.85%, et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.