Paris-Orléans a enregistré un bénéfice par action de 2,08 euros au titre de son exercice 2014/2015, à comparer avec 0,11 euro.
Le bénéfice net part du groupe est ressorti à 144.000 euros, contre seulement 8.000 euros à fin 2013/2014. Hors exceptionnel, il a bondi de 213% à 160.000 euros, tandis que le bénéfice d'exploitation s'est élevé à 268.000 euros, ce qui représente une croissance de 108%.
Les revenus ont, eux, augmenté de 27% à 1,4 million d'euros.
'Ces bons résultats reflètent les progrès importants dans l'ensemble de nos principaux métiers. Le conseil financier, tant dans le domaine des fusions-acquisitions que du financement, a connu une croissance soutenue; les actifs sous gestion de la banque privée et de la gestion d'actifs ont nettement progressé, bénéficiant de la solidité des marchés et d'une grande activité de nos clients. Le capital investissement et dette privée a quant à lui signé une année record grâce à des plus-values de cessions élevées dans un contexte de marché très favorable', ont énuméré Nigel Higgins et Olivier Pécoux, directeurs généraux de Paris-Orléans, selon lesquels 'ces résultats sont le reflet de (la) stratégie de croissance (des) métiers accompagnée d'une gestion des coûts rigoureuse'.
Le groupe dit rester concentré pour améliorer sa rentabilité, maîtriser ses coûts et mettre en oeuvre des synergies entre ses 3 principaux métiers. Enfin, il demeure confiant dans sa capacité à assurer à ses actionnaires des rendements solides sur le long terme.
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Le bénéfice net part du groupe est ressorti à 144.000 euros, contre seulement 8.000 euros à fin 2013/2014. Hors exceptionnel, il a bondi de 213% à 160.000 euros, tandis que le bénéfice d'exploitation s'est élevé à 268.000 euros, ce qui représente une croissance de 108%.
Les revenus ont, eux, augmenté de 27% à 1,4 million d'euros.
'Ces bons résultats reflètent les progrès importants dans l'ensemble de nos principaux métiers. Le conseil financier, tant dans le domaine des fusions-acquisitions que du financement, a connu une croissance soutenue; les actifs sous gestion de la banque privée et de la gestion d'actifs ont nettement progressé, bénéficiant de la solidité des marchés et d'une grande activité de nos clients. Le capital investissement et dette privée a quant à lui signé une année record grâce à des plus-values de cessions élevées dans un contexte de marché très favorable', ont énuméré Nigel Higgins et Olivier Pécoux, directeurs généraux de Paris-Orléans, selon lesquels 'ces résultats sont le reflet de (la) stratégie de croissance (des) métiers accompagnée d'une gestion des coûts rigoureuse'.
Le groupe dit rester concentré pour améliorer sa rentabilité, maîtriser ses coûts et mettre en oeuvre des synergies entre ses 3 principaux métiers. Enfin, il demeure confiant dans sa capacité à assurer à ses actionnaires des rendements solides sur le long terme.
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