Investing.com - Les options sur l'or ont conclu de manière positive, les opérateurs revenant sur le marché en quête de bonnes affaires tandis que d'autres couvraient leurs positions courtes suite à la plongée du début de journée au plus bas depuis août.
Les négociations entre les élus américains destinées à éloigner l'ombre de la catastrophe fiscale planant sur le pays demeuraient toutefois au premier plan.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 697.05 USD de l'once à la clôture des échanges, gagnant 0.7%.
Les prix avaient plongé en début de journée jusqu'à 1 636.45.35 USD, leur valeur la plus faible depuis le 22 août, suite à des achats techniques amplifiant la tendance après que les cours soient repassés au-dessous de leur moyenne fluctuante sur 200 jours à 1 660 USD, sur fond de signaux graphiques baissiers.
Cette dernière est généralement considérée comme un repère crucial.
Les cours auront ainsi subi avec 2.3% en moins, leur pire contre-performance depuis juin, une quatrième semaine de recul successive.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 636.45 USD, leur plancher de vendredi, et rencontrer de la résistance à 1 672.75 USD, leur plafond de jeudi.
Le dollar U.S. a repris des couleurs dans l'attente de négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le doute a refait surface après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés des Etats-Unis, ait abandonné son "plan B" de contournement de cet obstacle, ne comportant d'augmentation d'impôts que pour les contribuables gagnant plus d'un million de dollars par an, en raison du manque de soutien des membres de son parti.
La session du parlement américain est ajournée pour les fêtes de noël, laissant à penser que le "fiscal cliff" ne pourrait être circonvenu, alors qu'en l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
L'ambiance ne s'est pas allégée avec la démission peu surprenante du premier ministre italien Mario Monti après seulement 13 mois d'exercice, laissant ainsi entrevoir des élections nationales très incertaines pour février.
Cette idée a poussé les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors grimpé de 0.45% pour se situer à 79.64.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les prix ont nettement plongé ces dernières semaines, les gros investisseurs et les fonds de pension assurant leurs gains annuels avec des débouclages.
Les transactions semblaient devoir rester peu importantes au cours de la semaine à venir, les flus se trouvant marqués par les prises de position de fin d'année, tandis que les vacances dans de nombreux pays limiteront les activités.
Les faibles volumes en jeu pourront cependant entraîner des évolutions rapides lors de derniers échanges.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 1.2% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.04 USD de l'once, après avoir dégringolé jeudi jusqu'à 29.66 USD, leur valeur la plus basse en quatre mois.
Elles ont du coup limité leur quatrième recul hebdomadaire consécutif à 7%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles engrangé 0.8% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.564 USD la livre, s'étant elles aussi effondrées jeudi, reprenant pied à 3.523 USD, leur niveau le plus faible en trois semaines.
Elles ont ainsi sombré de 3.1% au cours de leur première semaine négative sur les six écoulées.
Les négociations entre les élus américains destinées à éloigner l'ombre de la catastrophe fiscale planant sur le pays demeuraient toutefois au premier plan.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 697.05 USD de l'once à la clôture des échanges, gagnant 0.7%.
Les prix avaient plongé en début de journée jusqu'à 1 636.45.35 USD, leur valeur la plus faible depuis le 22 août, suite à des achats techniques amplifiant la tendance après que les cours soient repassés au-dessous de leur moyenne fluctuante sur 200 jours à 1 660 USD, sur fond de signaux graphiques baissiers.
Cette dernière est généralement considérée comme un repère crucial.
Les cours auront ainsi subi avec 2.3% en moins, leur pire contre-performance depuis juin, une quatrième semaine de recul successive.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 636.45 USD, leur plancher de vendredi, et rencontrer de la résistance à 1 672.75 USD, leur plafond de jeudi.
Le dollar U.S. a repris des couleurs dans l'attente de négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le doute a refait surface après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés des Etats-Unis, ait abandonné son "plan B" de contournement de cet obstacle, ne comportant d'augmentation d'impôts que pour les contribuables gagnant plus d'un million de dollars par an, en raison du manque de soutien des membres de son parti.
La session du parlement américain est ajournée pour les fêtes de noël, laissant à penser que le "fiscal cliff" ne pourrait être circonvenu, alors qu'en l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
L'ambiance ne s'est pas allégée avec la démission peu surprenante du premier ministre italien Mario Monti après seulement 13 mois d'exercice, laissant ainsi entrevoir des élections nationales très incertaines pour février.
Cette idée a poussé les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors grimpé de 0.45% pour se situer à 79.64.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les prix ont nettement plongé ces dernières semaines, les gros investisseurs et les fonds de pension assurant leurs gains annuels avec des débouclages.
Les transactions semblaient devoir rester peu importantes au cours de la semaine à venir, les flus se trouvant marqués par les prises de position de fin d'année, tandis que les vacances dans de nombreux pays limiteront les activités.
Les faibles volumes en jeu pourront cependant entraîner des évolutions rapides lors de derniers échanges.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs grimpé de 1.2% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.04 USD de l'once, après avoir dégringolé jeudi jusqu'à 29.66 USD, leur valeur la plus basse en quatre mois.
Elles ont du coup limité leur quatrième recul hebdomadaire consécutif à 7%.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles engrangé 0.8% lors de l'ultime session, pour se hisser à 3.564 USD la livre, s'étant elles aussi effondrées jeudi, reprenant pied à 3.523 USD, leur niveau le plus faible en trois semaines.
Elles ont ainsi sombré de 3.1% au cours de leur première semaine négative sur les six écoulées.