Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une petite baisse de 0,06% jeudi, après la publication de statistiques américaines particulièrement encourageantes, tandis que les inquiétudes au sujet de la crise en zone euro continuaient de peser sur les marchés.
Comme prévu, la Banque centrale européenne a maintenu son principal taux directeur inchangé à un plus bas historique de 0,75%, tandis que son président Mario Draghi a répété que la croissance dans la zone euro devrait demeurer faible l’an prochain.
Il a également estimé que les risques inflationnistes sont largement équilibrés et indiqué que la Banque centrale se tient prête à démarrer ses achats d’obligations dans le cadre de son programme OMT.
La prudence restait, par ailleurs, de mise sur les marchés face aux craintes de blocage sur la question budgétaire aux Etats-Unis.
Sur le plan des statistiques, les inscriptions au chômage ont diminué de 8.000 à 355.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, contre 370.000 anticipées par les analystes. Le déficit commercial américain a quant à lui enregistré une contraction surprise de 5,1% à 41,5 milliards de dollars en septembre, contre -45 milliards anticipés.
En Europe, l’excédent commercial de l’Allemagne s’est contracté à 17 milliards d’euros en septembre, contre 18,1 milliards en août. En France, le déficit commercial a diminué à 5,03 milliards d’euros en septembre, contre 5,25 milliards un mois plus tôt.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent a terminé la journée en tête du CAC 40, avec un rebond de 11,60%, soutenu par l'annonce de l'opérateur américain AT&T, mercredi, selon laquelle il portera à 22 milliards de dollars par an ses dépenses d'investissement au cours des trois prochaines années afin de moderniser ses réseaux de téléphonie fixe et mobile.
Vallourec restait également en forte hausse et s'octroyait 4,42% à la clôture, alors que la groupe a fait état d’une hausse de 2% de son chiffre d’affaires à 1,33 milliard d’euros au troisième trimestre.
Le groupe confirme pouvoir atteindre une marge d’exploitation proche de 15% cette année et son objectif de dépasser les 100 millions d’euros d’économies sur l’exercice.
En ce qui concerne les banques, BNP Paribas progressait de 1,29% en fin de séance, tandis que Société Générale engrangeait 1,75% après avoir pourtant accusé une baisse de 86,3% de son bénéfice net à 85 millions d’euros au troisième trimestre, plombé notamment par des moins-values de cessions en Grèce et aux Etats-Unis.
Crédit Agricole restait dans le rouge en revanche, en baisse de 0,55% à la fermeture du marché. La banque verte doit publier ses résultats trimestriels vendredi.
Par ailleurs, Danone grimpait de 2,02% en fin de journée, après que l’investisseur américain Nelson Peltz, patron du fonds Trian, a déclaré que le titre du groupe français est sous-évalué, estimant sa véritable valeurs à 78 euros. Le Financial Times rapportait mercredi que Nelson Peltz a pris une participation de 1% dans Danone.
A l'inverse, EADS abandonnait 3,98% à la clôture, alors que le groupe d’aéronautique et de défense a vu son chiffre d’affaires augmenter de 15% à 12,32 milliards d’euros au troisième trimestre. Les analystes tablaient sur un chiffre d’affaires de 11,85 milliards d’euros.
Par ailleurs, la compagnie TransAsia Airways a passé une commande portant sur six A321neo supplémentaires, représentant 680 millions de dollars au prix catalogue.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 était à l'équilibre, le DAX perdait 0,39% et le Footsie 100 cédait 0,27%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 4,8 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit plus que les 4,5 milliards correspondant au point haut de la fourchette visée.
Le rendement moyen du papier à trois ans se détend à 3,66%, contre 3,95% le mois dernier. Ceux des échéances à six et vingt ans ressortent à respectivement 4,68% et 6,32%.
Comme prévu, la Banque centrale européenne a maintenu son principal taux directeur inchangé à un plus bas historique de 0,75%, tandis que son président Mario Draghi a répété que la croissance dans la zone euro devrait demeurer faible l’an prochain.
Il a également estimé que les risques inflationnistes sont largement équilibrés et indiqué que la Banque centrale se tient prête à démarrer ses achats d’obligations dans le cadre de son programme OMT.
La prudence restait, par ailleurs, de mise sur les marchés face aux craintes de blocage sur la question budgétaire aux Etats-Unis.
Sur le plan des statistiques, les inscriptions au chômage ont diminué de 8.000 à 355.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, contre 370.000 anticipées par les analystes. Le déficit commercial américain a quant à lui enregistré une contraction surprise de 5,1% à 41,5 milliards de dollars en septembre, contre -45 milliards anticipés.
En Europe, l’excédent commercial de l’Allemagne s’est contracté à 17 milliards d’euros en septembre, contre 18,1 milliards en août. En France, le déficit commercial a diminué à 5,03 milliards d’euros en septembre, contre 5,25 milliards un mois plus tôt.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent a terminé la journée en tête du CAC 40, avec un rebond de 11,60%, soutenu par l'annonce de l'opérateur américain AT&T, mercredi, selon laquelle il portera à 22 milliards de dollars par an ses dépenses d'investissement au cours des trois prochaines années afin de moderniser ses réseaux de téléphonie fixe et mobile.
Vallourec restait également en forte hausse et s'octroyait 4,42% à la clôture, alors que la groupe a fait état d’une hausse de 2% de son chiffre d’affaires à 1,33 milliard d’euros au troisième trimestre.
Le groupe confirme pouvoir atteindre une marge d’exploitation proche de 15% cette année et son objectif de dépasser les 100 millions d’euros d’économies sur l’exercice.
En ce qui concerne les banques, BNP Paribas progressait de 1,29% en fin de séance, tandis que Société Générale engrangeait 1,75% après avoir pourtant accusé une baisse de 86,3% de son bénéfice net à 85 millions d’euros au troisième trimestre, plombé notamment par des moins-values de cessions en Grèce et aux Etats-Unis.
Crédit Agricole restait dans le rouge en revanche, en baisse de 0,55% à la fermeture du marché. La banque verte doit publier ses résultats trimestriels vendredi.
Par ailleurs, Danone grimpait de 2,02% en fin de journée, après que l’investisseur américain Nelson Peltz, patron du fonds Trian, a déclaré que le titre du groupe français est sous-évalué, estimant sa véritable valeurs à 78 euros. Le Financial Times rapportait mercredi que Nelson Peltz a pris une participation de 1% dans Danone.
A l'inverse, EADS abandonnait 3,98% à la clôture, alors que le groupe d’aéronautique et de défense a vu son chiffre d’affaires augmenter de 15% à 12,32 milliards d’euros au troisième trimestre. Les analystes tablaient sur un chiffre d’affaires de 11,85 milliards d’euros.
Par ailleurs, la compagnie TransAsia Airways a passé une commande portant sur six A321neo supplémentaires, représentant 680 millions de dollars au prix catalogue.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 était à l'équilibre, le DAX perdait 0,39% et le Footsie 100 cédait 0,27%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 4,8 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit plus que les 4,5 milliards correspondant au point haut de la fourchette visée.
Le rendement moyen du papier à trois ans se détend à 3,66%, contre 3,95% le mois dernier. Ceux des échéances à six et vingt ans ressortent à respectivement 4,68% et 6,32%.