Investing.com - Les options sur le brut étaient nettement en forme en fin de semaine, sur fond d'espoir d'une résolution de la crise de la dette souveraine de la zone euro, tandis que lles cours Brent se retrouvaient sous pression suite à l'annonce de la mort de l'ancien dirigeants libyen, le colonel Mouammar Kadhafi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 87.64 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.25% sur la semaine, leur troisième de progression d'affilée.
Ils avaient auparavant engrangé 1.8% le même jour, après que des représentants allemands aient affirmé ce jour-là qu'il y avait plusieurs manières possibles de faire participer le Fonds Monétaire International à l'extension du volume du fonds de secours européen.
Les dirigeants européens ont pour leur part continué à élaborer un plan de recapitalisation des banques régionales, de renforcement de la puissance de feu Mécanisme de Stabilisation Financière Européen et de restructuration de la dette souveraine grecque.
Ils devraient dégager un consensus complet dans la lutte contre le problème du surendettement régional vieux de deux ans lors de leur réunion de dimanche ou de la suivante, prévue mercredi.
Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, a quand à elle affirmé qu'une troisième série d'achats d'actifs à grande échelle popurrait être nécessaire pour soutenir l'économie américaine, confortant ainsi l'hypothèse de nouveaux assouplissements monétaires.
Son intervention faisait suite à celle de Daniel Tarullo, membre du conseil directeur de la banque centrale des Etats-Unis, appelant à une relance des achats de gros volumes d'obligations hypothécaires.
L'étalon américain s'est retrouvé sur la sellette après ces propos, l'indice dollarglissant de 0.91% pour se situer à 76.52 à la clôture des échanges de vendredi, son plus bas niveau depuis le 9 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La diminution des réserves américaines a également contribué à soutenir les cours, après que le département d'état chargé de l'énergie ait déclaré dans son rapport hebdomadaire que celles de pétrole avaient perdu 4.7 millions de barils la semaine dernière, au lieu des 1.8 millions d'augmentation attendus.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont plongé de 2.6% pour s'effonddrer à 109.79 USD du baril dans le même temps, entraînant une réduction à 22.15 USD de leur avance sur leurs homologues américaines.
La mort de l'ex homme fort libyen Mouammar Kadhafi a fait déclarer aux représentants des institutions pétrolières nationales que la production dans la région de Sirte, son dernier refuge, pourrait bientot reprendre.
Le pays produisant 1.6 millions de barils quotidiens avant que n'éclate la guerre civile, mais les troubles ont mis fin à presque toutes les exportations.
Les analystes de Barclays Capital ont quand à eux souligné qu'environ 600 000 barils devraient être extraits par jour d'ici la fin de l'année, mais que "la route du retour à la production d'avant-guerre reste pleine d'embûches".
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 87.64 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.25% sur la semaine, leur troisième de progression d'affilée.
Ils avaient auparavant engrangé 1.8% le même jour, après que des représentants allemands aient affirmé ce jour-là qu'il y avait plusieurs manières possibles de faire participer le Fonds Monétaire International à l'extension du volume du fonds de secours européen.
Les dirigeants européens ont pour leur part continué à élaborer un plan de recapitalisation des banques régionales, de renforcement de la puissance de feu Mécanisme de Stabilisation Financière Européen et de restructuration de la dette souveraine grecque.
Ils devraient dégager un consensus complet dans la lutte contre le problème du surendettement régional vieux de deux ans lors de leur réunion de dimanche ou de la suivante, prévue mercredi.
Janet Yellen, vice-gouverneur de la Réserve Fédérale, a quand à elle affirmé qu'une troisième série d'achats d'actifs à grande échelle popurrait être nécessaire pour soutenir l'économie américaine, confortant ainsi l'hypothèse de nouveaux assouplissements monétaires.
Son intervention faisait suite à celle de Daniel Tarullo, membre du conseil directeur de la banque centrale des Etats-Unis, appelant à une relance des achats de gros volumes d'obligations hypothécaires.
L'étalon américain s'est retrouvé sur la sellette après ces propos, l'indice dollarglissant de 0.91% pour se situer à 76.52 à la clôture des échanges de vendredi, son plus bas niveau depuis le 9 septembre.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La diminution des réserves américaines a également contribué à soutenir les cours, après que le département d'état chargé de l'énergie ait déclaré dans son rapport hebdomadaire que celles de pétrole avaient perdu 4.7 millions de barils la semaine dernière, au lieu des 1.8 millions d'augmentation attendus.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont plongé de 2.6% pour s'effonddrer à 109.79 USD du baril dans le même temps, entraînant une réduction à 22.15 USD de leur avance sur leurs homologues américaines.
La mort de l'ex homme fort libyen Mouammar Kadhafi a fait déclarer aux représentants des institutions pétrolières nationales que la production dans la région de Sirte, son dernier refuge, pourrait bientot reprendre.
Le pays produisant 1.6 millions de barils quotidiens avant que n'éclate la guerre civile, mais les troubles ont mis fin à presque toutes les exportations.
Les analystes de Barclays Capital ont quand à eux souligné qu'environ 600 000 barils devraient être extraits par jour d'ici la fin de l'année, mais que "la route du retour à la production d'avant-guerre reste pleine d'embûches".