Investing.com - Les options sur le brut ont connu leur quatrième semaine de progression d'affilée, s'élevant vendredi vers un pic des six dernières semaines après que l'Agence Internationale de l'Energie ait annoncé qu'elle mettrait pas à disposition de nouvelles réserves, alors que la crainte d'un ralentissement de la demande américaine se trouvait apaisée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 99.78 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, engrangeant 2% sur la semaine.
Ils avaient auparavant culminé à 100.16 USD, leur cours le plus élevé depuis le 15 juin.
L'AIE a en effet déclaré jeudi qu'elle ne laisserait pas accès à davantage de ses réserves d'urgence, estimant avoir "largement atteint" son but, après avoir fourni 60 millions de barils de brut le mois dernier afin de répondre au problème du manque de fournitures en provenance de Libye.
Nobuo Tanaka, son directeur exécutif, a en effet déclaré que bien que l'agence ait décidé de ne pas fournir davantage d'or noir, il continuerait néanmoins à "surveiller attentivement l'état du marché", ajoutant que l'agence resterait prête à agir "si le besoin s'en faisant de nouveau sentir".
Les cours avaient été tirés vers le haut jeudi après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur l'octroi à la Grèce d'une bouée de sauvetage à hauteur de 159 milliards d'euros, les créanciers acceptant d'y contribuer.
L'affaiblissement du dollar U.S. a également contribué à leur bonne forme. L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 1.4% pour se situer à 74.45, se maintenant proche de son plancher des six dernières semaines.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié vendredi que la demande nationale de carburant avait bondi de 2.9% pour atteindre 22.2 millions de barils quotidiens en juin, tandis que la consommation de carburant diesel par les transporteurs routiers atteignait des records.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis a par ailleurs fait savoir que les réserves de brut avaient quand à elles perdu 3.7 millions de barils au cours de la semaine passée, dépassant largement les 1.5 millions prévus.
Les stocks de brut du pays ont diminué pendant sept semaines d'affilée, constituant la plus longue série de diminutions en deux ans, apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la consommation du premier demandeur mondial.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.9% pour grimper à 118.56 USD du baril dans le même temps, soit 18.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 99.78 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, engrangeant 2% sur la semaine.
Ils avaient auparavant culminé à 100.16 USD, leur cours le plus élevé depuis le 15 juin.
L'AIE a en effet déclaré jeudi qu'elle ne laisserait pas accès à davantage de ses réserves d'urgence, estimant avoir "largement atteint" son but, après avoir fourni 60 millions de barils de brut le mois dernier afin de répondre au problème du manque de fournitures en provenance de Libye.
Nobuo Tanaka, son directeur exécutif, a en effet déclaré que bien que l'agence ait décidé de ne pas fournir davantage d'or noir, il continuerait néanmoins à "surveiller attentivement l'état du marché", ajoutant que l'agence resterait prête à agir "si le besoin s'en faisant de nouveau sentir".
Les cours avaient été tirés vers le haut jeudi après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur l'octroi à la Grèce d'une bouée de sauvetage à hauteur de 159 milliards d'euros, les créanciers acceptant d'y contribuer.
L'affaiblissement du dollar U.S. a également contribué à leur bonne forme. L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 1.4% pour se situer à 74.45, se maintenant proche de son plancher des six dernières semaines.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'institut du pétrole américain avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié vendredi que la demande nationale de carburant avait bondi de 2.9% pour atteindre 22.2 millions de barils quotidiens en juin, tandis que la consommation de carburant diesel par les transporteurs routiers atteignait des records.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis a par ailleurs fait savoir que les réserves de brut avaient quand à elles perdu 3.7 millions de barils au cours de la semaine passée, dépassant largement les 1.5 millions prévus.
Les stocks de brut du pays ont diminué pendant sept semaines d'affilée, constituant la plus longue série de diminutions en deux ans, apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la consommation du premier demandeur mondial.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.9% pour grimper à 118.56 USD du baril dans le même temps, soit 18.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.