Investing.com - Les options sur le brut ont conclu aux abords d'un creux de deux semaines, tirées vers le bas par l'angoisse renouvelée d'un engorgement dans la région du Midwest des Etats-Unis.
Leurs homologues cotés à Londres se sont par contre hissés à un sommet de neuf mois suite à de bonnes nouvelles sur le front du commerce extérieur.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.78 USD le baril à la clôture des transactions, en repli de 0.1%.
Ils auront ainsi dérapé de 1.85% pour leur premier recul hebdomadaire en neuf semaines.
L'inversion de tendance à eu lieu après qu'une étude du groupe de recherches IIR Energy ait souligné que la raffinerie de Phillips 66 située à Wood River, dans l'état de l'Illinois, devra renoncer lors de son entretien fin février à ses 306 000 barils débités par jour.
Cette nouvelle a renforcé les inquiétudes au sujet de l'accumulation de surplus au centre névralgique de Cushing, en Oklahoma, point de livraison des échanges NYMEX.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 1.4% vendredi pour grimper à 118.89 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 2 mai.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 2% d'amélioration, pour s'établir à 23.11 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis le 26 novembre.
Celui-ci n'a cessé d'augmenter depuis que les opérateurs de l'oléoduc Seaway ont déploré le 31 que son flux risquait d'être limité jusqu'au quatrième trimestre de l'année en cours.
Il a également profité des signes d'accélération de l'économie mondiale, suite notamment à la publication de chiffres du commerce extérieur encourageants provenant des Etats-Unis et de la Chine.
Des chiffres officiels ont ainsi signalé vendredi que le déficit de la balance commerciale américaine avait été en décembre le plus faible depuis janvier 2010, laissant espérer une révision à la hausse de la croissance du quatrième trimestre.
Le département d'état au commerce a ainsi constaté qu'il avait fondu depuis 48.6 milliards d'USD jusqu'à 38.5 milliards pour la période considérée, alors qu'une réduction à 46 milliards d'USD était envisagée.
En Asie, l'excédent de celui de la Chine s'est moins réduit que redouté pour le premier mois de l'année, les exportations bondissant de 25% et les importations de 28.8%.
Il est ainsi passé de 31.6 à 29.2 milliards d'USD pour janvier, au lieu de sobrer aux 22 milliards redoutés.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La persistance des tensions géopolitiques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord a également renforcé cette tendance.
Le volume des ventes et le moral des consommateurs des Etats-Unis seront au centre des débats de la semaine prochaine, sans oublier les chiffres du produit intérieur brut de la zone euro et l'évolution des prix à la consommation du Royaume-Uni.
Leurs homologues cotés à Londres se sont par contre hissés à un sommet de neuf mois suite à de bonnes nouvelles sur le front du commerce extérieur.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.78 USD le baril à la clôture des transactions, en repli de 0.1%.
Ils auront ainsi dérapé de 1.85% pour leur premier recul hebdomadaire en neuf semaines.
L'inversion de tendance à eu lieu après qu'une étude du groupe de recherches IIR Energy ait souligné que la raffinerie de Phillips 66 située à Wood River, dans l'état de l'Illinois, devra renoncer lors de son entretien fin février à ses 306 000 barils débités par jour.
Cette nouvelle a renforcé les inquiétudes au sujet de l'accumulation de surplus au centre névralgique de Cushing, en Oklahoma, point de livraison des échanges NYMEX.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 1.4% vendredi pour grimper à 118.89 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 2 mai.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 2% d'amélioration, pour s'établir à 23.11 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis le 26 novembre.
Celui-ci n'a cessé d'augmenter depuis que les opérateurs de l'oléoduc Seaway ont déploré le 31 que son flux risquait d'être limité jusqu'au quatrième trimestre de l'année en cours.
Il a également profité des signes d'accélération de l'économie mondiale, suite notamment à la publication de chiffres du commerce extérieur encourageants provenant des Etats-Unis et de la Chine.
Des chiffres officiels ont ainsi signalé vendredi que le déficit de la balance commerciale américaine avait été en décembre le plus faible depuis janvier 2010, laissant espérer une révision à la hausse de la croissance du quatrième trimestre.
Le département d'état au commerce a ainsi constaté qu'il avait fondu depuis 48.6 milliards d'USD jusqu'à 38.5 milliards pour la période considérée, alors qu'une réduction à 46 milliards d'USD était envisagée.
En Asie, l'excédent de celui de la Chine s'est moins réduit que redouté pour le premier mois de l'année, les exportations bondissant de 25% et les importations de 28.8%.
Il est ainsi passé de 31.6 à 29.2 milliards d'USD pour janvier, au lieu de sobrer aux 22 milliards redoutés.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La persistance des tensions géopolitiques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord a également renforcé cette tendance.
Le volume des ventes et le moral des consommateurs des Etats-Unis seront au centre des débats de la semaine prochaine, sans oublier les chiffres du produit intérieur brut de la zone euro et l'évolution des prix à la consommation du Royaume-Uni.