Investing.com - Les options sur le brut ont conclu la semaine positivement, après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière chinoise avait connu sa plus forte augmentation en plus d'un an, laissant envisager une forte demande de la part du second consommateur d'énergie de la planète.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.85 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.9%.
Ils auront ainsi engrangé 0.95% hebdomadaires.
Ils ont en effet repris des couleurs après que l'indice des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est quand à lui passé de 50.5 à 50.9 pour ce mois-ci, constituant ainsi la meilleure performance du secteur en 14 mois.
Cette bonne nouvelle a quelque peu apaisé les angoisses entourant les perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande, l'activité de ses usines servant à jauger son appétit futur.
Des chiffres américaine soulignaient de leur côté que la production industrielle avait réalisé un bond de 1.1% en novembre, le plus fort depuis décembre 2011, dépassant largement les 0.3% espérés.
Une autre étude officielle avait pour sa part montré que les prix au détail des Etats-Unis avaient diminué de 0.3% en novembre, constituant leur premier recul en six mois, en raison notamment de coûts de l'essence en déclin, ramenant le taux d'augmentation annuel à 1.8%.
La banque centrale américaine avait précisé mercredi que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, et jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Elle a aussi décidé de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama avait récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp républicain se refuse à envisager, soutenant plutôt une lutte hasardeuse contre les niches et autres abattements fiscaux qu'une remontée des taux d'imposition.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, entraînant le reste du monde dans sa chute.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Les négociations à Washington destinées à éviter une débâcle budgétaire américaine seront au centre des débats de la semaine.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier, qui expiraient en fin de séance, se sont élevées de 1.1% vendredi pour se hisser à 109.15 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec une poussée de 2.6%, pour s'établir à 22.3 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 86.85 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 0.9%.
Ils auront ainsi engrangé 0.95% hebdomadaires.
Ils ont en effet repris des couleurs après que l'indice des directeurs des achats manufacturiers chinois établi par HSBC est quand à lui passé de 50.5 à 50.9 pour ce mois-ci, constituant ainsi la meilleure performance du secteur en 14 mois.
Cette bonne nouvelle a quelque peu apaisé les angoisses entourant les perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande, l'activité de ses usines servant à jauger son appétit futur.
Des chiffres américaine soulignaient de leur côté que la production industrielle avait réalisé un bond de 1.1% en novembre, le plus fort depuis décembre 2011, dépassant largement les 0.3% espérés.
Une autre étude officielle avait pour sa part montré que les prix au détail des Etats-Unis avaient diminué de 0.3% en novembre, constituant leur premier recul en six mois, en raison notamment de coûts de l'essence en déclin, ramenant le taux d'augmentation annuel à 1.8%.
La banque centrale américaine avait précisé mercredi que ses taux de base demeureraient presque nuls tant que les prévisions d'inflation se maintiendraient aux alentours de son objectif fixé à 2%, et jusqu'à ce que le chômage passe sous les 6.6%.
Elle a aussi décidé de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations nationales et de titres sécurisés adossés à des hypothèques pour un total de 85 milliards d'USD afin de renflouer l'économie.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
Le président américain Barack Obama avait récemment rappelé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp républicain se refuse à envisager, soutenant plutôt une lutte hasardeuse contre les niches et autres abattements fiscaux qu'une remontée des taux d'imposition.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, entraînant le reste du monde dans sa chute.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Les négociations à Washington destinées à éviter une débâcle budgétaire américaine seront au centre des débats de la semaine.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier, qui expiraient en fin de séance, se sont élevées de 1.1% vendredi pour se hisser à 109.15 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec une poussée de 2.6%, pour s'établir à 22.3 USD de mieux que leurs homologues américaines.