Investing.com - Les options sur le brut ont conclu à leur plus haut niveau depuis mars 2012, en raison des signes d'augmentation des besoins américains, et des propos rassurants du chef de la banque centrale des Etats-Unis, laissant espérer que cette dernière maintiendrait le statu quo pendant encore longtemps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 108,23 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0,4%.
Ils avaient auparavant culminé à 108,92 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 mars 2012.
Ils auront ainsi accumulé 2,1% pour leur quatrième avancée hebdomadaire, engrangeant ainsi près de 14% sur la période.
Les valeurs audacieuses ont vu leur blason redoré après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait nié que cette dernière ait déjà établi des plans visant à resserrer les boulons.
Il a ainsi affirmé au cours du premier jour de son passage semestriel devant les élus que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les injections de liquidités demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les cours ont vu leur ascension s'amplifier après que l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis ait signalé que les réserves de pétrole brut américaines avaient laissé filer 6,9 millions de barils la semaine passée, au lieu des 2 millions attendus.
Elles ont du coup sombré de 27,1 millions de barils au cours de la période de trois semaines conclue le 12 juillet, du jamais vu depuis la mise en place de la mesure, en 1982.
Les yeux seront tournés pour la semaine prochaine sur les chiffres de l'immobilier et des industries des Etats-Unis, en quête d'indices sur l'état de leur économie.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les chiffres de l'actualité manufacturière chinoise de mercredi ne seront pas non plus à négliger, la santé économique nationale étant dans le collimateur.
La Banque Populaire de Chine avait pour sa part déclaré vendredi qu'elle supprimait la limite basse des taux d'intérêt pratiqués dans le secteur financier, afin de l'aider à attirer davantage d'emprunteurs et ainsi donner un coup de fouet à l'économie.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part reculé de 0,2% vendredi pour glisser à 108,48 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec une érosion de 0,3%, pour s'établir à 0,25 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ces dernière avaient auparavant frémi jusqu'à les dépasser de 0,05 USD, pour la première fois depuis octobre 2010, alors qu'elles se situaient encore en février au-dessous d'elles de 23 USD.
Leur écart a fondu ces derniers mois, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Celles-ci ont ansi fondu depuis les 52 millions de barils de janvier jusqu'à 46 millions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 108,23 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 0,4%.
Ils avaient auparavant culminé à 108,92 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 mars 2012.
Ils auront ainsi accumulé 2,1% pour leur quatrième avancée hebdomadaire, engrangeant ainsi près de 14% sur la période.
Les valeurs audacieuses ont vu leur blason redoré après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait nié que cette dernière ait déjà établi des plans visant à resserrer les boulons.
Il a ainsi affirmé au cours du premier jour de son passage semestriel devant les élus que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les injections de liquidités demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les cours ont vu leur ascension s'amplifier après que l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis ait signalé que les réserves de pétrole brut américaines avaient laissé filer 6,9 millions de barils la semaine passée, au lieu des 2 millions attendus.
Elles ont du coup sombré de 27,1 millions de barils au cours de la période de trois semaines conclue le 12 juillet, du jamais vu depuis la mise en place de la mesure, en 1982.
Les yeux seront tournés pour la semaine prochaine sur les chiffres de l'immobilier et des industries des Etats-Unis, en quête d'indices sur l'état de leur économie.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les chiffres de l'actualité manufacturière chinoise de mercredi ne seront pas non plus à négliger, la santé économique nationale étant dans le collimateur.
La Banque Populaire de Chine avait pour sa part déclaré vendredi qu'elle supprimait la limite basse des taux d'intérêt pratiqués dans le secteur financier, afin de l'aider à attirer davantage d'emprunteurs et ainsi donner un coup de fouet à l'économie.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part reculé de 0,2% vendredi pour glisser à 108,48 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec une érosion de 0,3%, pour s'établir à 0,25 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ces dernière avaient auparavant frémi jusqu'à les dépasser de 0,05 USD, pour la première fois depuis octobre 2010, alors qu'elles se situaient encore en février au-dessous d'elles de 23 USD.
Leur écart a fondu ces derniers mois, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Celles-ci ont ansi fondu depuis les 52 millions de barils de janvier jusqu'à 46 millions.