Futures Pros - La semaine dernière aura vu les options sur le pétrole brut pour décembre décliner sur fond d'inquiétude concernant la baisse de la demande et la hausse des réserves mondiales.
Sur la bourse aux matières premières de New York, les contrats pour du pétrole à échéance en décembre se sont échangés à 81.38 USD le baril à la clôture vendredi, soit 0.74% de perdus sur la semaine.
Les cours avaient commencé à baisser mercredi après que l'agence américaine d'information sur l'énergie ait annoncé dans un rapport que les réserves de brut du pays avaient augmenté de manière significative lors de la semaine achevée le 22 octobre, avec pas moins de 5 millions de barils de plus. Les experts s'étaient attendus à les voir n'en prendre que 1.1 millions.
D'après ces informations, le total des réserves de pétrole brut des Etats-Unis s'élevait à 366.2 millions de barils pour la période considérée, soit nettement plus que la moyenne saisonnière supérieure.
La baisse des prix s'est accentuée vendredi après que les résultats décevants du PIB américain aient fait craindre une diminution de la demande de pétrole de la part du plus gros consommateur mondial.
D'autres chiffres officiels ont effectivement montré une hausse de seulement 2% du PIB national au troisième trimestre, donc pas meilleure que prévu, après 1.7% de progression lors du précédent. Les ventes finales, mesurant la demande réelle du pays, n'ont par contre pris que 0.6% dans le même temps, au lieu de 1.1 et 0.9% lors du premier et du second.
L'organisation des pays exportateurs de pétrole a également affirmé vendredi que la production mondiale avait augmenté en octobre, après son plancher des 11 derniers mois datant du mois précédent, gagnant en effet 65 000 barils quotidiens de plus, pour passer de 28.04 à 29.01 millions de barils par jour.
Les futures sur le gaz naturel de décembre ont par ailleurs atteint un pic des 5 dernières semaines à 4.067 USD par million d'unités thermiques britanniques en fin de séance de vendredi, bondissant de 13.99% sur la semaine.
Sur la bourse aux matières premières de New York, les contrats pour du pétrole à échéance en décembre se sont échangés à 81.38 USD le baril à la clôture vendredi, soit 0.74% de perdus sur la semaine.
Les cours avaient commencé à baisser mercredi après que l'agence américaine d'information sur l'énergie ait annoncé dans un rapport que les réserves de brut du pays avaient augmenté de manière significative lors de la semaine achevée le 22 octobre, avec pas moins de 5 millions de barils de plus. Les experts s'étaient attendus à les voir n'en prendre que 1.1 millions.
D'après ces informations, le total des réserves de pétrole brut des Etats-Unis s'élevait à 366.2 millions de barils pour la période considérée, soit nettement plus que la moyenne saisonnière supérieure.
La baisse des prix s'est accentuée vendredi après que les résultats décevants du PIB américain aient fait craindre une diminution de la demande de pétrole de la part du plus gros consommateur mondial.
D'autres chiffres officiels ont effectivement montré une hausse de seulement 2% du PIB national au troisième trimestre, donc pas meilleure que prévu, après 1.7% de progression lors du précédent. Les ventes finales, mesurant la demande réelle du pays, n'ont par contre pris que 0.6% dans le même temps, au lieu de 1.1 et 0.9% lors du premier et du second.
L'organisation des pays exportateurs de pétrole a également affirmé vendredi que la production mondiale avait augmenté en octobre, après son plancher des 11 derniers mois datant du mois précédent, gagnant en effet 65 000 barils quotidiens de plus, pour passer de 28.04 à 29.01 millions de barils par jour.
Les futures sur le gaz naturel de décembre ont par ailleurs atteint un pic des 5 dernières semaines à 4.067 USD par million d'unités thermiques britanniques en fin de séance de vendredi, bondissant de 13.99% sur la semaine.