A 1,3 dollar du nouveau record annuel atteint lundi, le cours du Brent semble toujours porté par le changement de pied de l'Opep. A mi-séance en Europe, le baril de Brent de mer du Nord livrable en décembre prenait 0,8% à 52,4 dollars, le WTI américain d'échéance novembre le devançant : + 1,1%, à 51 dollars.
Et pourtant hier, l'Energy Information Agency a fait état d'une évolution décevante des stocks commerciaux de pétrole brut aux Etats-Unis : + 4,9 millions de barils la semaine dernière, là où le baril n'attendait qu'une hausse de l'ordre de 700.000 unités.
Cependant, les retraits des stocks de produits raffinés (essence, diesel, fuel domestique, ...) se sont avérés, eux, plus marqués de prévu, ce qui constitue un bon signe pour la demande.
'Les stocks de brut pourraient augmenter ponctuellement et pour des raisons saisonnières. Les raffineries vont devoir, ensuite, accroître dans les prochaines semaines leurs stocks de produits raffinés, avant d'arrêter leur production pour des opérations de maintenance', commentent ce matin les analystes d'Aurel BGC.
D'une manière plus générale et après l''entente surprise' annoncée par le cartel pétrolier ces dernières semaines, la banque canadienne Desjardins estime que 'l'Opep aide le baril de pétrole à remonter au-dessus de 50 dollars' pour le WTI.
'La correction amorcée à la mi-2014 semble ainsi derrière nous et l'on peut espérer que la remontée graduelle des prix des matières premières se poursuivra en 2017', pronostiquent les spécialistes.
EG
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Et pourtant hier, l'Energy Information Agency a fait état d'une évolution décevante des stocks commerciaux de pétrole brut aux Etats-Unis : + 4,9 millions de barils la semaine dernière, là où le baril n'attendait qu'une hausse de l'ordre de 700.000 unités.
Cependant, les retraits des stocks de produits raffinés (essence, diesel, fuel domestique, ...) se sont avérés, eux, plus marqués de prévu, ce qui constitue un bon signe pour la demande.
'Les stocks de brut pourraient augmenter ponctuellement et pour des raisons saisonnières. Les raffineries vont devoir, ensuite, accroître dans les prochaines semaines leurs stocks de produits raffinés, avant d'arrêter leur production pour des opérations de maintenance', commentent ce matin les analystes d'Aurel BGC.
D'une manière plus générale et après l''entente surprise' annoncée par le cartel pétrolier ces dernières semaines, la banque canadienne Desjardins estime que 'l'Opep aide le baril de pétrole à remonter au-dessus de 50 dollars' pour le WTI.
'La correction amorcée à la mi-2014 semble ainsi derrière nous et l'on peut espérer que la remontée graduelle des prix des matières premières se poursuivra en 2017', pronostiquent les spécialistes.
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