Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse ce lundi, compensant en partie les fortes pertes de la session précédente, la peur d'un défaut de paiement américain ayant été apaisée après que la Maison Blanche ait déclaré qu'une consensus sur le relèvement de la limite de la dette U.S. avait été dégagé.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.12 USD le baril en début de séance européenne, engrangeant 1.2%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.53 USD, leur cours le plus élevé depuis le 28 juillet, avec un envol de 1.65%.
Le président Barack Obama a en effet déclaré dimanche soir que républicains et démocrates avaient trouvé un terrain d'entente concernant les réductions de dépenses et l'augmentation de la limitation à 14.3 billions d'USD de l'endettement américain, apaisant la crainte d'un potentiel défaut de paiement national.
Le plan de marche, qui doit encore être voté aujourd'hui, prévoit de relever la limite d'endettement d'au moins 2.1 billions d'USD, soit assez pour subvenir aux besoins du gouvernement jusqu'en 2013.
M. Obama a rappelé: "Des votes cruciaux doivent encore avoir lieu au congrès, mais je désire faire savoir que les dirigeants des deux partis de chacune des chambres ont trouvé une solution permettant de réduire les déficits et de permettre au pays d'honorer ses dettes."
Le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis a pour sa part annoncé hier que la tempête tropicale Eugene pourrait gagner en puissance et devenir un ouragan dans les prochaines 48 heures, alors qu'elle se dirigeait vers l'ouest nord-ouest au dessus des eaux du Golfe du Mexique.
Son homologue Don, qui avait touché samedi les côtes du Texas, avait poussé les principales compagnies pétrolières, comme Royal Dutch Shell et BP à évacuer leur personnel des plate-formes de production de la zone.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Les cours avaient plongé de près de 2% vers un creux des deux dernières semaines vendredi, après que le produit intérieur brut américain décevant du second trimestre et les incertitudes concernant l'accord de remontée du plafond d'endettement du pays aient remis en cause la demande à court terme du premier consommateur mondial.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont engrangé 1.95% pour grimper à 119.05 USD du baril dans le même temps, soit 21.93 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.12 USD le baril en début de séance européenne, engrangeant 1.2%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.53 USD, leur cours le plus élevé depuis le 28 juillet, avec un envol de 1.65%.
Le président Barack Obama a en effet déclaré dimanche soir que républicains et démocrates avaient trouvé un terrain d'entente concernant les réductions de dépenses et l'augmentation de la limitation à 14.3 billions d'USD de l'endettement américain, apaisant la crainte d'un potentiel défaut de paiement national.
Le plan de marche, qui doit encore être voté aujourd'hui, prévoit de relever la limite d'endettement d'au moins 2.1 billions d'USD, soit assez pour subvenir aux besoins du gouvernement jusqu'en 2013.
M. Obama a rappelé: "Des votes cruciaux doivent encore avoir lieu au congrès, mais je désire faire savoir que les dirigeants des deux partis de chacune des chambres ont trouvé une solution permettant de réduire les déficits et de permettre au pays d'honorer ses dettes."
Le centre national d'étude des ouragans des Etats-Unis a pour sa part annoncé hier que la tempête tropicale Eugene pourrait gagner en puissance et devenir un ouragan dans les prochaines 48 heures, alors qu'elle se dirigeait vers l'ouest nord-ouest au dessus des eaux du Golfe du Mexique.
Son homologue Don, qui avait touché samedi les côtes du Texas, avait poussé les principales compagnies pétrolières, comme Royal Dutch Shell et BP à évacuer leur personnel des plate-formes de production de la zone.
Les négociants en produits énergétiques surveillent l'activité météorologique de la région avec attention au cas où elle en perturberait la production, qui représente près de 29% de celle du pays.
Les cours avaient plongé de près de 2% vers un creux des deux dernières semaines vendredi, après que le produit intérieur brut américain décevant du second trimestre et les incertitudes concernant l'accord de remontée du plafond d'endettement du pays aient remis en cause la demande à court terme du premier consommateur mondial.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont engrangé 1.95% pour grimper à 119.05 USD du baril dans le même temps, soit 21.93 USD de mieux que leurs homologues américaines.