Investing.com - Le dollar U.S. restait en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, s'accrochant à un sommet pluriannuel contre son homologue du pays du soleil levant, tandis que celui d'Europe bénéficiait du communiqué sur les taux de change diffusé par le G7 malgré l'ombre des incertitudes politiques régionales.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.33% pour grimper à 1.3448.
La confiance a en effet fait un pas en avant après que le texte portant sur le sujet émis par le groupe des 7 pays les plus développés n'ait pas fait ouvertement référence à l'effondrement du yen se poursuivant depuis ces derniers mois.
Ses membres ont aussi confirmé leur engagement à laisser le marché de changes évoluer librement, sans établir d'objectifs de taux, avertissant aussi qu'une "volatilité excessive" pourrait avoir des "conséquences fâcheuses" pour la stabilité financière et économique.
Ces propos étaient à inscrire dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
Thomas Jordan, président de la Banque Nationale Suisse, avait auparavant défendu la politique de lutte contre la déflation de la Banque du Japon, assurant que ses homologues n'étaient pas engagés dans une guerre des monnaies.
Mais l'atmosphère européenne restait cependant assombrie par le flou découlant des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY perdant 0.04% pour sombrer à 94.28, s'éloignant ainsi un peu moins de son piédestal de deux ans et demi.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, a pour sa part déclaré à l'aube que son pays comptait réaffirmer lors de la rencontre du G20 son intention de continuer à appliquer des politiques monétaires et économiques destinées à lutter contre la déflation.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.33% pour chuter à 1.5605, aux alentours d'une ornière de six mois.
Celle-ci restait sous pression après que informations émanant des autorités aient montré en cours de matinée que l'inflation à la consommation britannique s'était maintenue en janvier à 2.7% pour le quatrième mois consécutif, évitant ainsi de frémir jusqu'aux 2.8% envisagés.
Le franc suisse a cependant fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF dérapant de 0.34% pour glisser à 0.9171.
La devise de la confédération n'avait guère évolué après qu'une étude officielle ait montré que les prix à la consommation au sein de celle-ci avaient sombré de 0.3% d'une année sur l'autre en janvier, mais aussi par rapport au mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.04% pour monter à 1.0051, l'AUD/USD cédant 0.01% pour se retrouver à 1.0255 et le NZD/USD arrachant 0.1% pour culminer à 0.8356.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 80.29.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles.
Le discours du président Barack Obama aux états de l'union fera lui aussi l'objet de toutes les attentions cet après-midi, à l'affût de signes d'un accord qui permettrait d'éviter la conjonction de la fin automatique de réductions d'impôts et d'importantes coupes budgétaires devant se produire au premier mars.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.33% pour grimper à 1.3448.
La confiance a en effet fait un pas en avant après que le texte portant sur le sujet émis par le groupe des 7 pays les plus développés n'ait pas fait ouvertement référence à l'effondrement du yen se poursuivant depuis ces derniers mois.
Ses membres ont aussi confirmé leur engagement à laisser le marché de changes évoluer librement, sans établir d'objectifs de taux, avertissant aussi qu'une "volatilité excessive" pourrait avoir des "conséquences fâcheuses" pour la stabilité financière et économique.
Ces propos étaient à inscrire dans le contexte de l'orée de la réunion du G20 de vendredi, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à doper la compétitivité.
Thomas Jordan, président de la Banque Nationale Suisse, avait auparavant défendu la politique de lutte contre la déflation de la Banque du Japon, assurant que ses homologues n'étaient pas engagés dans une guerre des monnaies.
Mais l'atmosphère européenne restait cependant assombrie par le flou découlant des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY perdant 0.04% pour sombrer à 94.28, s'éloignant ainsi un peu moins de son piédestal de deux ans et demi.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, a pour sa part déclaré à l'aube que son pays comptait réaffirmer lors de la rencontre du G20 son intention de continuer à appliquer des politiques monétaires et économiques destinées à lutter contre la déflation.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.33% pour chuter à 1.5605, aux alentours d'une ornière de six mois.
Celle-ci restait sous pression après que informations émanant des autorités aient montré en cours de matinée que l'inflation à la consommation britannique s'était maintenue en janvier à 2.7% pour le quatrième mois consécutif, évitant ainsi de frémir jusqu'aux 2.8% envisagés.
Le franc suisse a cependant fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF dérapant de 0.34% pour glisser à 0.9171.
La devise de la confédération n'avait guère évolué après qu'une étude officielle ait montré que les prix à la consommation au sein de celle-ci avaient sombré de 0.3% d'une année sur l'autre en janvier, mais aussi par rapport au mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.04% pour monter à 1.0051, l'AUD/USD cédant 0.01% pour se retrouver à 1.0255 et le NZD/USD arrachant 0.1% pour culminer à 0.8356.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 80.29.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles.
Le discours du président Barack Obama aux états de l'union fera lui aussi l'objet de toutes les attentions cet après-midi, à l'affût de signes d'un accord qui permettrait d'éviter la conjonction de la fin automatique de réductions d'impôts et d'importantes coupes budgétaires devant se produire au premier mars.