Investing.com - L'euro a légèrement pris l'avantage sur le dollar U.S. pour se hisser vers un pic de deux ans ce vendredi matin, son adversaire toujours sapé par les fortes probabilités que son émettrice repousse la réduction de ses rachats d'actifs.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3833 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis octobre 2011, puis s'est stabilisée vers 1,3813, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3792, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1,4246, son plafond déjà évoqué.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après qu'un rapport sur l'emploi décevant de la part des Etats-Unis ait renforcé l'idée selon laquelle leur banque centrale attendrait l'année prochaine pour commencer à fermer les robinets, sur fond de crainte des conséquences des 16 jour de paralysie des administrations sur la relance économique.
Leur département d'état au travail avait pour sa part dénombré hier 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 19 octobre, pour un total hebdomadaire de 350.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 22.000 pour les amener à 340.000 était envisagée.
Une croissance inférieure aux attentes de leurs créations d'emplois pour septembre avait déjà été mise en relief en début de semaine.
La monnaie unique restait cependant fragiisée, en raison de résultats décevants de la part des usines et des prestataires de services de la région l'ayant adoptée, laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur dans la reprise.
Le groupe de recherches économiques Markit avait en effet fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 51,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
La devise européenne a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,03% pour se hisser à 0,8521.
Le groupe d'études Ifo comptait d'autre part diffuser aujourd'hui son rapport sur la confiance dans les affaires de l'Allemagne, après quoi les Etats-Unis concluront enfin la semaine avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3833 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis octobre 2011, puis s'est stabilisée vers 1,3813, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3792, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1,4246, son plafond déjà évoqué.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après qu'un rapport sur l'emploi décevant de la part des Etats-Unis ait renforcé l'idée selon laquelle leur banque centrale attendrait l'année prochaine pour commencer à fermer les robinets, sur fond de crainte des conséquences des 16 jour de paralysie des administrations sur la relance économique.
Leur département d'état au travail avait pour sa part dénombré hier 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 19 octobre, pour un total hebdomadaire de 350.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 22.000 pour les amener à 340.000 était envisagée.
Une croissance inférieure aux attentes de leurs créations d'emplois pour septembre avait déjà été mise en relief en début de semaine.
La monnaie unique restait cependant fragiisée, en raison de résultats décevants de la part des usines et des prestataires de services de la région l'ayant adoptée, laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur dans la reprise.
Le groupe de recherches économiques Markit avait en effet fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 51,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
La devise européenne a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,03% pour se hisser à 0,8521.
Le groupe d'études Ifo comptait d'autre part diffuser aujourd'hui son rapport sur la confiance dans les affaires de l'Allemagne, après quoi les Etats-Unis concluront enfin la semaine avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.