Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la troisième session d'affilée ce mardi, sur fond de résultats montrant un ralentissement de l'activité manufaturière chinoise d'octobre et de renouveau des craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 91.35 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.97%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.16 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 octobre, avec 2.18% de fléchissement.
L'humeur des investisseurs s'est trouvée plombée par les informations selon lesquelles George Papandreou, premier ministre de la Grèce, aurait appelé à un referendum concernant le nouveau plan de secours au pays croulant sous le fardeau de sa dette, aggravant les incertitudes liées au problème du surendettement régional.
La nouvelle a poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit des valeur sûres comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a progressé pour la seconde fois d'affilée, gagnant 0.75% de son côté pour se situer à 77.24, sa meilleure valeur en sept jours.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le recul de l'or noir a également été aggravé par une étude montrant que l'indice des directeurs des achats manufacturiers d'octobre émanant des autorités chinoises était tombé à son pire niveau depuis février 2009, plongeant de 51.2 à 50.4, toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénotant une croissance du secteur.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, et l'activité de son secteur secondaire sert à évaluer l'augmentation de ses besoins.
Mohamed al-Hamli, ministre de l'énergie des Emirats Arabes unis, avait auparavant déclaré que les cours devaient se situer "entre 80 et 100 USD du baril" pour rester raisonnables.
Il a ajouté lors de sa conférence dans le cadre de la semaine internationale de l'énergie à Singapour qu'il était encore trop tôt pour évoquer ce que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole devrait faire en décembre lors de sa réunion d'orientation de sa politique de production.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 1.63% pour plonger à 107.76 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 16.41 USD.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 91.35 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.97%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 91.16 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 octobre, avec 2.18% de fléchissement.
L'humeur des investisseurs s'est trouvée plombée par les informations selon lesquelles George Papandreou, premier ministre de la Grèce, aurait appelé à un referendum concernant le nouveau plan de secours au pays croulant sous le fardeau de sa dette, aggravant les incertitudes liées au problème du surendettement régional.
La nouvelle a poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit des valeur sûres comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a progressé pour la seconde fois d'affilée, gagnant 0.75% de son côté pour se situer à 77.24, sa meilleure valeur en sept jours.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le recul de l'or noir a également été aggravé par une étude montrant que l'indice des directeurs des achats manufacturiers d'octobre émanant des autorités chinoises était tombé à son pire niveau depuis février 2009, plongeant de 51.2 à 50.4, toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénotant une croissance du secteur.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, et l'activité de son secteur secondaire sert à évaluer l'augmentation de ses besoins.
Mohamed al-Hamli, ministre de l'énergie des Emirats Arabes unis, avait auparavant déclaré que les cours devaient se situer "entre 80 et 100 USD du baril" pour rester raisonnables.
Il a ajouté lors de sa conférence dans le cadre de la semaine internationale de l'énergie à Singapour qu'il était encore trop tôt pour évoquer ce que l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole devrait faire en décembre lors de sa réunion d'orientation de sa politique de production.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 1.63% pour plonger à 107.76 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 16.41 USD.