Investing.com - La livre sterling restait proche d'un creux de deux ans et demi face au dollar U.S. ce lundi, les bons chiffres de l'emploi des Etats-Unis dévoilés en fin de semaine ayant alimenté l'espoir d'un renforcement de la relance du pays.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.4944 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4925, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.4883, son plancher le plus bas depuis juillet 2010 établi vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5046, son plafond datant du même jour.
Le département d'état au travail avait alors constaté que l'économie des Etats-Unis avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Ces bonnes nouvelles ont du coup déclenché le retour des rumeurs d'interruption prématurée des apports de capitaux de la Réserve Fédérale, et encouragé sa devise.
Son adversaire subissait toujours pour sa part l'ombre d'une récession à triple tranchant, renforçant l'espérance de nouveaux assouplissements provenant de la Banque d'Angleterre.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.12% pour glisser à 0.8768.
Une étude gouvernentale avait quand à elle montré à l'aube que l'excédent du commerce extérieur s'était réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros pour janvier en Allemagne.
Les exportations y ont ainsi arraché 1.4% après ajustement saisonnier d'une année sur l'autre, tandis que les importations y gonflaient de 3.3%.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.4944 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4925, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.4883, son plancher le plus bas depuis juillet 2010 établi vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5046, son plafond datant du même jour.
Le département d'état au travail avait alors constaté que l'économie des Etats-Unis avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Ces bonnes nouvelles ont du coup déclenché le retour des rumeurs d'interruption prématurée des apports de capitaux de la Réserve Fédérale, et encouragé sa devise.
Son adversaire subissait toujours pour sa part l'ombre d'une récession à triple tranchant, renforçant l'espérance de nouveaux assouplissements provenant de la Banque d'Angleterre.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.12% pour glisser à 0.8768.
Une étude gouvernentale avait quand à elle montré à l'aube que l'excédent du commerce extérieur s'était réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros pour janvier en Allemagne.
Les exportations y ont ainsi arraché 1.4% après ajustement saisonnier d'une année sur l'autre, tandis que les importations y gonflaient de 3.3%.