Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que circulait la rumeur selon laquelle la reprise américaine prenait de l'ampleur, tandis que les investisseurs continuaient à surveiller les troubes au Moyen-Orient et la crise nucléaire japonaise.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.4054.
Le parti conservateur de la chancelière allemande Angela Merkel avait en effet perdu l'état-clef du Bade-Wuerttemberg en fin de semaine lors des dernières élections, ce qui pourrait limiter la capacité de Mme Merkel à modifier la législation, alors que sa coalition de centre droit se retrouve à devoir gérer des débats sur l'électricité nucléaire, le conflit armé en Libye et la poursuite de la crise de la dette de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.61% pour chuter à 1.5964.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.55% pour se hisser à 81.79, un pic des 6 derniers jours de cotation.
Il n'en a toutefois pas été de même avec le franc suisse, servant de valeur refuge, l'USD/CHF cédant 0.25% pour descendre à 0.9177.
La monnaie des Etats-Unis a par contre été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD perdant 0.14% pour glisser à 0.9796, l'AUD/USD bondissant de 0.25% pour se retrouver à 1.0286, un nouveau record historique, et le NZD/USD se laissant arracher 0.41% pour toucher le fond à 0.7503.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.28% pour se situer à 76.61.
Le bureau d'analyse économique des Etats-Unis avait annoncé vendredi que le produit intérieur brut avait dépassé les attentes, grimpant de 3.1% hors inflation au lieu des 2.9% attendus.
Les Etats-Unis devraient d'autre part faire connaître en cours de journée les chiffres des acteurs du secteur immobilier concernant les ventes de logements en cours, ainsi que les résultats officiels concernant les dépenses individuelles, les revenus personnels et les dépenses de consommation.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.4054.
Le parti conservateur de la chancelière allemande Angela Merkel avait en effet perdu l'état-clef du Bade-Wuerttemberg en fin de semaine lors des dernières élections, ce qui pourrait limiter la capacité de Mme Merkel à modifier la législation, alors que sa coalition de centre droit se retrouve à devoir gérer des débats sur l'électricité nucléaire, le conflit armé en Libye et la poursuite de la crise de la dette de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.61% pour chuter à 1.5964.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.55% pour se hisser à 81.79, un pic des 6 derniers jours de cotation.
Il n'en a toutefois pas été de même avec le franc suisse, servant de valeur refuge, l'USD/CHF cédant 0.25% pour descendre à 0.9177.
La monnaie des Etats-Unis a par contre été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD perdant 0.14% pour glisser à 0.9796, l'AUD/USD bondissant de 0.25% pour se retrouver à 1.0286, un nouveau record historique, et le NZD/USD se laissant arracher 0.41% pour toucher le fond à 0.7503.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.28% pour se situer à 76.61.
Le bureau d'analyse économique des Etats-Unis avait annoncé vendredi que le produit intérieur brut avait dépassé les attentes, grimpant de 3.1% hors inflation au lieu des 2.9% attendus.
Les Etats-Unis devraient d'autre part faire connaître en cours de journée les chiffres des acteurs du secteur immobilier concernant les ventes de logements en cours, ainsi que les résultats officiels concernant les dépenses individuelles, les revenus personnels et les dépenses de consommation.