Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, les craintes au sujet de l'expansion économique mondiale continuant à plomber l'atmospphère, tandis que les yeux étaient tournés vers les informations américaines de l'après-midi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.59%, le CAC 40 français de 0.56%, et le DAX 30 allemand de 0.74%.
La nervosité était en effet de mise après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin, amenant la rétraction annualisée à 0.4%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale fléchissant respectivement de 0.09 et 0.19%, suivis par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.56 et 0.93%.
Les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo ont toutefois sauvé l'honneur en engrangeant 1.36 et 0.82%.
Carlsberg, quatrième brasseur mondial, a pour sa part plongé de 2.74%, ayant déclaré que ses revenus bruts, avant intérêts, taxes et investissements avaient fondu de 6.1% au second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.63%, dans l'expectative à la mi-journée du compte-rendu de la plus récente réunion d'orientation de la Banque d'Angleterre.
Les mastodontes minirs Rio Tinto et BHP Billiton étaient en difficulté, sombrant de 4.13 et 1.84%, suivis par leur rival Vedanta Resources avec 3.46%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'était guère mieux loti avec 2.94% de détérioration, imité par BP avec 0.67%.
Eurasian Natural Resources, fournisseur de métaux kazakh, a quand à lui coulé de 2.58%, ses 3.25 milliards d'USD de ventes au premier semestre se situant au-dessous des prédictions, déplorant que les matières premières semblent devoir demeurer volatiles, en raison de cours incertains.
Concernant la City, Standard Chartered a bondi de 2.83% après qu'il ait été rapporté que l'enquête new-yorkaise à propos d'un éventuel blanchiment d'argent de sa part aurait été abandonnée en échange de 340 millions d'USD, à la veille d'une audience devant déterminer si son droit à opérer dans la région devait être maintenu.
Mais l'enquête fédérale à propos d'accusations de complicité avec l'Iran dans le but de faire transiter des capitauux à travers le système américain courait toujours.
Ses collègues étaient par contre moins en forme, Lloyds Banking trébuchant de 0.09%, la Royal Bank of Scotland laissant échapper 0.89%, tandis que Barclays et HSBC Holdings dérapaient de 1.22 et 1.51%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.59%, le CAC 40 français de 0.56%, et le DAX 30 allemand de 0.74%.
La nervosité était en effet de mise après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin, amenant la rétraction annualisée à 0.4%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
La finance coiffait le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale fléchissant respectivement de 0.09 et 0.19%, suivis par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.56 et 0.93%.
Les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo ont toutefois sauvé l'honneur en engrangeant 1.36 et 0.82%.
Carlsberg, quatrième brasseur mondial, a pour sa part plongé de 2.74%, ayant déclaré que ses revenus bruts, avant intérêts, taxes et investissements avaient fondu de 6.1% au second trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.63%, dans l'expectative à la mi-journée du compte-rendu de la plus récente réunion d'orientation de la Banque d'Angleterre.
Les mastodontes minirs Rio Tinto et BHP Billiton étaient en difficulté, sombrant de 4.13 et 1.84%, suivis par leur rival Vedanta Resources avec 3.46%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'était guère mieux loti avec 2.94% de détérioration, imité par BP avec 0.67%.
Eurasian Natural Resources, fournisseur de métaux kazakh, a quand à lui coulé de 2.58%, ses 3.25 milliards d'USD de ventes au premier semestre se situant au-dessous des prédictions, déplorant que les matières premières semblent devoir demeurer volatiles, en raison de cours incertains.
Concernant la City, Standard Chartered a bondi de 2.83% après qu'il ait été rapporté que l'enquête new-yorkaise à propos d'un éventuel blanchiment d'argent de sa part aurait été abandonnée en échange de 340 millions d'USD, à la veille d'une audience devant déterminer si son droit à opérer dans la région devait être maintenu.
Mais l'enquête fédérale à propos d'accusations de complicité avec l'Iran dans le but de faire transiter des capitauux à travers le système américain courait toujours.
Ses collègues étaient par contre moins en forme, Lloyds Banking trébuchant de 0.09%, la Royal Bank of Scotland laissant échapper 0.89%, tandis que Barclays et HSBC Holdings dérapaient de 1.22 et 1.51%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.