Investing.com - Les bourses d'Asie étaient mitigées ce mardi, la finance tirant les marchés vers le bas et les exportateurs japonais devant toujours subir la pression du yen lourd.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait perdu 0.31%, l'indice composite sud-coréen Kospi avait par contre pris 0.19% mais le Nikkei 225 japonais avait néanmoins laissé échapper 0.25%.
Yoshihiko Noda, le ministre des finances nippon, avait précédemment réaffirmé que les autorités nationales "agiraient de manière décisive" pour juguler la hausse du yen "si cela s'avèrait nécessaire", rappelant qu'il observait le marché des changes avec "beaucoup d'intérêt".
Les pertes du Nikkei sont survenues alors la finance se trouvait en lanterne rouge, le second plus gros prêteur du pays, le Mizuho Financial Group, plongeant de 1.65% et son rival Nomura Holdings de 1.8%.
Les actions du secteur automobile ont également décliné après que Toshiyuki Shiga, directeur général de Nissan Motors, ait annoncé que son industrie devait faire face à une "énorme crise" à cause de la force de la monnaie du pays. Les actions de la société ont chuté de 0.95%, celles de Toyota Motors de 0.93% et celles de Mazda Motors de 1.88%.
L'indice australien S&P/ASX 200 a par ailleurs glissé de 0.47%, les actions d'ASX Ltd., principal opérateur boursier national, ayant dévissé de 7.38%, et ce au lendemain de son accord d'achat par Singapore Exchange à hauteur de 8.4 milliards d'AUD, aprèsque les législateurs aient exprimé leurs inquiétudes concernant cette prise de contrôle.
Concernant l'Europe, les marchés ont ouvert à la baisse, l'EURO STOXX 50 perdant 0.21%, le CAC 40 français 0.28%, le DAX allemand 0.03% et le FTSE 100 britannique 0.27%.
Une étude de Gfk avait auparavant montré que son indice des perspectives des consommateurs allemands pour novembre était resté stable à 4.9, après avoir augmenté pendant quatre mois consécutifs, alors que les experts s'étaient attendus à le voir progresser jusqu'à 5.2.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait perdu 0.31%, l'indice composite sud-coréen Kospi avait par contre pris 0.19% mais le Nikkei 225 japonais avait néanmoins laissé échapper 0.25%.
Yoshihiko Noda, le ministre des finances nippon, avait précédemment réaffirmé que les autorités nationales "agiraient de manière décisive" pour juguler la hausse du yen "si cela s'avèrait nécessaire", rappelant qu'il observait le marché des changes avec "beaucoup d'intérêt".
Les pertes du Nikkei sont survenues alors la finance se trouvait en lanterne rouge, le second plus gros prêteur du pays, le Mizuho Financial Group, plongeant de 1.65% et son rival Nomura Holdings de 1.8%.
Les actions du secteur automobile ont également décliné après que Toshiyuki Shiga, directeur général de Nissan Motors, ait annoncé que son industrie devait faire face à une "énorme crise" à cause de la force de la monnaie du pays. Les actions de la société ont chuté de 0.95%, celles de Toyota Motors de 0.93% et celles de Mazda Motors de 1.88%.
L'indice australien S&P/ASX 200 a par ailleurs glissé de 0.47%, les actions d'ASX Ltd., principal opérateur boursier national, ayant dévissé de 7.38%, et ce au lendemain de son accord d'achat par Singapore Exchange à hauteur de 8.4 milliards d'AUD, aprèsque les législateurs aient exprimé leurs inquiétudes concernant cette prise de contrôle.
Concernant l'Europe, les marchés ont ouvert à la baisse, l'EURO STOXX 50 perdant 0.21%, le CAC 40 français 0.28%, le DAX allemand 0.03% et le FTSE 100 britannique 0.27%.
Une étude de Gfk avait auparavant montré que son indice des perspectives des consommateurs allemands pour novembre était resté stable à 4.9, après avoir augmenté pendant quatre mois consécutifs, alors que les experts s'étaient attendus à le voir progresser jusqu'à 5.2.