Investing.com - Le dollar U.S. était légèrement à la hausse face au yen ce jeudi, progressant prudemment vers un pic des 4 derniers jours après qu'une série de résultats économiques aient laissé à penser que la croissance asiatique pourrait être en train de ralentir.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 82.96 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 4 mars, puis s'est stabilisée vers 82.81, arrachant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 82.2, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 83.52, son plafond du 22 février.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'économie japonaise avant davantage régressé au cours du quatrième trimestre que prévu initialement, en raison d'une révisions à la baisse des investissements de capitaux et des dépenses de consommateurs.
Le bureau gouvernemental a en effet avoué que le produit domestique brut s'était contracté à raison de 1.3% annualisés sur la période considérée, aggravant les 1.1% prévus annoncés le mois dernier.
Une autre étude avait pour sa part indiqué en début de matinée que la Chine avait enregistré un déficit de sa balance commerciale se montant à 7.3 milliards d'USD pour février, son pire en 7 ans, les fêtes du nouvel an lunaire ayant nettement freiné la croissance du secteur de l'export.
Les importations du pays n'ont par ailleurs pris que 19.4% mensuels, contre 32.8% espérés, et les exportations ne se sont améliorées que de 2.4%, soit un score très maigre par rapport aux 25.9% attendus.
Le yen a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY cédant 0.55% pour tomber à 114.43.
Des information émanant des autorités australiennes déploraient quand à elles les premières pertes d'emplois en 18 mois, survenues en février, tandis que la Banque Centrale néo-zélandaise réduisait ses taux d'intérêt pour adoucir l'impact économique du séisme de force 6.3 sur l'échelle de Richter subi le mois dernier par la ville de Christchurch.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 82.96 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 4 mars, puis s'est stabilisée vers 82.81, arrachant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 82.2, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 83.52, son plafond du 22 février.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'économie japonaise avant davantage régressé au cours du quatrième trimestre que prévu initialement, en raison d'une révisions à la baisse des investissements de capitaux et des dépenses de consommateurs.
Le bureau gouvernemental a en effet avoué que le produit domestique brut s'était contracté à raison de 1.3% annualisés sur la période considérée, aggravant les 1.1% prévus annoncés le mois dernier.
Une autre étude avait pour sa part indiqué en début de matinée que la Chine avait enregistré un déficit de sa balance commerciale se montant à 7.3 milliards d'USD pour février, son pire en 7 ans, les fêtes du nouvel an lunaire ayant nettement freiné la croissance du secteur de l'export.
Les importations du pays n'ont par ailleurs pris que 19.4% mensuels, contre 32.8% espérés, et les exportations ne se sont améliorées que de 2.4%, soit un score très maigre par rapport aux 25.9% attendus.
Le yen a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY cédant 0.55% pour tomber à 114.43.
Des information émanant des autorités australiennes déploraient quand à elles les premières pertes d'emplois en 18 mois, survenues en février, tandis que la Banque Centrale néo-zélandaise réduisait ses taux d'intérêt pour adoucir l'impact économique du séisme de force 6.3 sur l'échelle de Richter subi le mois dernier par la ville de Christchurch.