Lindt a fait état ce vendredi matin d'un Ebit semestriel de 98,4 millions de francs suisses, soit une progression de 8,6%, mais légèrement inférieur à la prévision moyenne des analystes de 100,5 millions.
Le bénéfice net du géant helvète du chocolat a quant à lui augmenté de 11,1% comparativement aux 6 premiers mois de l'exercice clos à 72,2 millions de francs suisses.
Son chiffre d'affaires est pour sa part ressorti à 1,5 milliard de francs suisses, en hausse de 4,4% en données organiques, contre cependant +5,1% attendu par le consensus (+6,6% hors Russell Stover, acquis en 2014).
Globalement en ligne, cette publication a toutefois été assortie de perspectives assez optimistes. Lindt anticipe en effet une accélération de ses ventes sur la seconde partie de l'exercice suffisante pour pouvoir se conformer à la fouchette prévisionnelle d'une croissance organique entre 6 et 8% à fin 2016.
Tout en jugeant la situation actuelle peu favorable sur la matière première en raison de prix du cacao toujours orientés à la hausse avec les récoltes décevantes enregistréee en Afrique de l'Ouest, le groupe a indiqué que son taux de croissance dépasse celui de l'ensemble du marché du chocolat.
Le second semestre, qui intègre les fêtes de fin d'année, est le plus important pour le groupe et représente plus de 60% de ses ventes annuelles.
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Le bénéfice net du géant helvète du chocolat a quant à lui augmenté de 11,1% comparativement aux 6 premiers mois de l'exercice clos à 72,2 millions de francs suisses.
Son chiffre d'affaires est pour sa part ressorti à 1,5 milliard de francs suisses, en hausse de 4,4% en données organiques, contre cependant +5,1% attendu par le consensus (+6,6% hors Russell Stover, acquis en 2014).
Globalement en ligne, cette publication a toutefois été assortie de perspectives assez optimistes. Lindt anticipe en effet une accélération de ses ventes sur la seconde partie de l'exercice suffisante pour pouvoir se conformer à la fouchette prévisionnelle d'une croissance organique entre 6 et 8% à fin 2016.
Tout en jugeant la situation actuelle peu favorable sur la matière première en raison de prix du cacao toujours orientés à la hausse avec les récoltes décevantes enregistréee en Afrique de l'Ouest, le groupe a indiqué que son taux de croissance dépasse celui de l'ensemble du marché du chocolat.
Le second semestre, qui intègre les fêtes de fin d'année, est le plus important pour le groupe et représente plus de 60% de ses ventes annuelles.
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