Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, après que Standard & Poor's ait dégradé son appréciation des Etats-Unis, encourageant les investisseurs à acquérir des valeurs sûres, au nombre desquelles se trouvennt le yen et le franc suisse.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.45% pour tomber à 1.4214.
La monnaie unique avait auparavant profité de l'annonce dimanche soir de la BCE selon laquelle elle "mettrait activement en place" son programme d'achat de bons, sous-entendant qu'elle avait des chances d'acheter des actifs espagnols et italiens.
La nouvelle n'a toutefois pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.6377.
Il a toutefois subi la pression des valeurs refuges emblématiques que sont le yen et le franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0.82% pour sombrer à 77.82 et l'USD/CHF laissant échapper 0.58% pour couler à 0.7629.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a pour sa part déclaré qu'il "continuerait à observer l'évolution du marché des changes avec attention", sous-entendant que les autorités se tenaient prêtes à agir de nouveau pour juguler le renforcement de sa monnaie.
L'agence Moody's a cependant prévenu que les interventions de Tokyo dans cette optique étaient inefficaces et nuisibles à sa notation souveraine.
Une étude officielle avait quand à elle indiqué ce matin que le taux de chômage helvétique était resté stable sans surprise à 3% avec ajustement saisonnier pour juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, fort sensibles au goût du risque, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 0.9875, l'AUD/USD cédant 0.83% pour se retrouver à 1.0356 et le NZD/USD se laissant arracher 1.63% pour toucher le fond à 0.8296.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.15% pour se situer à 74.88.
L'agence Standard & Poor's avait en effet décidé d'abaisser d'un cran sa notation monétaire des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés de vendredi, tout en la maintenant sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.45% pour tomber à 1.4214.
La monnaie unique avait auparavant profité de l'annonce dimanche soir de la BCE selon laquelle elle "mettrait activement en place" son programme d'achat de bons, sous-entendant qu'elle avait des chances d'acheter des actifs espagnols et italiens.
La nouvelle n'a toutefois pas suffi à dissiper le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les troisième et quatrième plus grosses économies de la région.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.6377.
Il a toutefois subi la pression des valeurs refuges emblématiques que sont le yen et le franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0.82% pour sombrer à 77.82 et l'USD/CHF laissant échapper 0.58% pour couler à 0.7629.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a pour sa part déclaré qu'il "continuerait à observer l'évolution du marché des changes avec attention", sous-entendant que les autorités se tenaient prêtes à agir de nouveau pour juguler le renforcement de sa monnaie.
L'agence Moody's a cependant prévenu que les interventions de Tokyo dans cette optique étaient inefficaces et nuisibles à sa notation souveraine.
Une étude officielle avait quand à elle indiqué ce matin que le taux de chômage helvétique était resté stable sans surprise à 3% avec ajustement saisonnier pour juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, fort sensibles au goût du risque, l'USD/CAD prenant 0.55% pour monter à 0.9875, l'AUD/USD cédant 0.83% pour se retrouver à 1.0356 et le NZD/USD se laissant arracher 1.63% pour toucher le fond à 0.8296.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.15% pour se situer à 74.88.
L'agence Standard & Poor's avait en effet décidé d'abaisser d'un cran sa notation monétaire des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés de vendredi, tout en la maintenant sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.