Investing.com - L'euro était relativement en forme face à ses principaux rivaux ce lundi, l'angoisse d'un éventuel défaut de paiement grec ayant été apaisée après que le parlement du pays ait voté une série de mesures d'austérité.
En fin de première partie de séance, le billet vert fléchissait devant lui, l'EUR/GBP gagnant 0.46% pour se hisser à 1.3258.
La monnaie unique a retrouvé le sourire après que les représentants de la Grèce aient donné hier leur feu vert à un programme d'austérité comprenant des coupes dans les salaires du secteur privé, le licenciement de 15 000 fonctionnaires ainsi que 3 milliards d'euros de coupes supplémentaires dans le budget de l'état dès cette année.
Mais le pays doit encore trouver le moyen d'économiser 325 milliards d'euros et donner des garanties concernant la mise en oeuvre du programme avant que les ministres des finances de la zone euro ne se réunissent pour décider de lui accorder ou non un parachute de 130 milliards d'euros.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances de l'Allemagne, a en effet déclaré lors d'un entretien avec un journal national que les promesses de mesures draconiennes grecques ne suffisaient plus, leur crédibilité ayant déjà été trop mise à mal.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.41% pour grimper à 0.8393.
Le yen a subi le même sort, mais le franc suisse a fait mieux que résister, l'EUR/JPY raflant 0.64% pour culminer à 103.08 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2093.
Une étude officielle avait auparavant montré que les coûts de production suisses étaient restés étonnamment stables en janvier, après avoir pourtant avancé en décembre pour la première fois en huit mois, prenant de court les experts prédisant une progression de 0.2%.
Les informations préliminaires émanant des autorités nippones indiquaient pour leur part ce matin que le produit intérieur brut du Japon avait davantage diminué que redouté pour le quatrième trimestre, dérapant de 0.6% après avoir pourtant grignoté 1.4% lors du précédent.
Les analystes espéraient que ce repli se limiterait à 0.3% pour la période considérée.
Un autre rapport signalait toutefois que l'activité du secteur tertiaire du pays avait davantage progressé en décembre qu'attendu, bondissant de 1.4% après avoir trébuché de 0.6% en novembre, dépassant les 0.9% d'augmentation sur lesquels tablaient les spécialistes.
Les récents planchers historiques contre ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient dangereusement proches, l'EUR/AUD glissant de 0.3% pour descendre à 1.2328 et l'EUR/NZD chutant de 0.67% pour plonger à 1.586.
Le gouvernement de l'Australie avait fait savoir en début de journée que les prêts immobiliers avaient davantage augmenté en décembre qu'il n'avait été espéré, bondissant de 2.3% pour prolonger les 1.8% du mois précédent.
Les observateurs n'osaient pourtant pas prévoir plus de 1.9% d'amélioration sur cette période.
Le dollar canadien a aussi subi son ascension, l'EUR/CAD arrachant 0.22% pour s'établir à 1.3245.
Les acteurs des marchés guettaient par ailleurs une série d'émissions de dettes de la part de l'Italie, de l'Espagne et de la France prévues pour ces prochains jours, celles-ci constituant des tests grandeur nature de la confiance des investisseurs dans les dettes souveraines régionales.
En fin de première partie de séance, le billet vert fléchissait devant lui, l'EUR/GBP gagnant 0.46% pour se hisser à 1.3258.
La monnaie unique a retrouvé le sourire après que les représentants de la Grèce aient donné hier leur feu vert à un programme d'austérité comprenant des coupes dans les salaires du secteur privé, le licenciement de 15 000 fonctionnaires ainsi que 3 milliards d'euros de coupes supplémentaires dans le budget de l'état dès cette année.
Mais le pays doit encore trouver le moyen d'économiser 325 milliards d'euros et donner des garanties concernant la mise en oeuvre du programme avant que les ministres des finances de la zone euro ne se réunissent pour décider de lui accorder ou non un parachute de 130 milliards d'euros.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances de l'Allemagne, a en effet déclaré lors d'un entretien avec un journal national que les promesses de mesures draconiennes grecques ne suffisaient plus, leur crédibilité ayant déjà été trop mise à mal.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.41% pour grimper à 0.8393.
Le yen a subi le même sort, mais le franc suisse a fait mieux que résister, l'EUR/JPY raflant 0.64% pour culminer à 103.08 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2093.
Une étude officielle avait auparavant montré que les coûts de production suisses étaient restés étonnamment stables en janvier, après avoir pourtant avancé en décembre pour la première fois en huit mois, prenant de court les experts prédisant une progression de 0.2%.
Les informations préliminaires émanant des autorités nippones indiquaient pour leur part ce matin que le produit intérieur brut du Japon avait davantage diminué que redouté pour le quatrième trimestre, dérapant de 0.6% après avoir pourtant grignoté 1.4% lors du précédent.
Les analystes espéraient que ce repli se limiterait à 0.3% pour la période considérée.
Un autre rapport signalait toutefois que l'activité du secteur tertiaire du pays avait davantage progressé en décembre qu'attendu, bondissant de 1.4% après avoir trébuché de 0.6% en novembre, dépassant les 0.9% d'augmentation sur lesquels tablaient les spécialistes.
Les récents planchers historiques contre ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient dangereusement proches, l'EUR/AUD glissant de 0.3% pour descendre à 1.2328 et l'EUR/NZD chutant de 0.67% pour plonger à 1.586.
Le gouvernement de l'Australie avait fait savoir en début de journée que les prêts immobiliers avaient davantage augmenté en décembre qu'il n'avait été espéré, bondissant de 2.3% pour prolonger les 1.8% du mois précédent.
Les observateurs n'osaient pourtant pas prévoir plus de 1.9% d'amélioration sur cette période.
Le dollar canadien a aussi subi son ascension, l'EUR/CAD arrachant 0.22% pour s'établir à 1.3245.
Les acteurs des marchés guettaient par ailleurs une série d'émissions de dettes de la part de l'Italie, de l'Espagne et de la France prévues pour ces prochains jours, celles-ci constituant des tests grandeur nature de la confiance des investisseurs dans les dettes souveraines régionales.