Investing.com - Les options sur le brut étaient à la peine ce lundi matin, le futur de l'économie des Etats-Unis, et notamment la façon dont ses élus vont gérer l'obstacle imminent du problème de la dette, restant dans tous les esprits.
Une certaine quantité de prises de bénéfices a accentué la tendance, suite à l'ascension la semaine dernière au plus haut depuis la mi-septembre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 92.59 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0.6%, après avoir culminé le 2 janvier à 93.82 USD, leur valeur la plus forte depuis le 19 septembre.
Leur quatrième avancée hebdomadaire d'affilée aura été le théâtre d'une flambée d'environ 2.5%, la plus importante en près de trois mois.
L'année avait commencé avec un net renforcement, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Mais la nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, tandis que le taux de chômage stagnait à 7.8%.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale avait quand à lui montré lors de la précédente journée de cotation qu'elle envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Le renforcement du dollar U.S. a également amplifié ce repli, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.2% pour se hisser à 80.77.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont laissé échapper 0.4% pour glisser à 110.88 USD du baril dans le même temps, soit 18.29 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart s'est retrouvé le moins important depuis septembre, en raison du début cette semaine des travaux d'expansion de l'oléoduc Seaway, qui devrait aider à résorber le trop-plein s'accumulant dans la région du Midwest des Etats-Unis.
Ses opérateurs ont ainsi déclaré vouloir faire passer sa capacité de transport depuis terminal de Cushing, en Oklahoma, lieu de livraison des contrats new-yorkais, de 150 000 à 400 000 barils quotidiens.
Une certaine quantité de prises de bénéfices a accentué la tendance, suite à l'ascension la semaine dernière au plus haut depuis la mi-septembre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 92.59 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 92.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0.6%, après avoir culminé le 2 janvier à 93.82 USD, leur valeur la plus forte depuis le 19 septembre.
Leur quatrième avancée hebdomadaire d'affilée aura été le théâtre d'une flambée d'environ 2.5%, la plus importante en près de trois mois.
L'année avait commencé avec un net renforcement, le parlement américain ayant enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
Mais la nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait dénombré vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, tandis que le taux de chômage stagnait à 7.8%.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale avait quand à lui montré lors de la précédente journée de cotation qu'elle envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Le renforcement du dollar U.S. a également amplifié ce repli, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.2% pour se hisser à 80.77.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont laissé échapper 0.4% pour glisser à 110.88 USD du baril dans le même temps, soit 18.29 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart s'est retrouvé le moins important depuis septembre, en raison du début cette semaine des travaux d'expansion de l'oléoduc Seaway, qui devrait aider à résorber le trop-plein s'accumulant dans la région du Midwest des Etats-Unis.
Ses opérateurs ont ainsi déclaré vouloir faire passer sa capacité de transport depuis terminal de Cushing, en Oklahoma, lieu de livraison des contrats new-yorkais, de 150 000 à 400 000 barils quotidiens.