Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture morose ce vendredi, dans l'attente du solde de la balance commerciale des Etats-Unis, le moral restant modérémént soutenu par le regain d'optimisme dans la gestion de la crise de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.06%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une amélioration de 0.04%.
Mais le moral restait plutôt bon, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait prédit qu'une reprise économique progressive débuterait cette année, les réformes structurelles et ses propres actions visant à résoudre la crise de la dette régionale agissant dans la continuité.
Shinzo Abe, premier ministre japonais sur le retour, avait dévoilé à l'aube dévoilé un plan impliquant 10.3 billions de JPY de mesures stimulatrices, destinées à mettre fin à la déflation et donner un coup de fouet à la croissance.
Le gouvernement a précisé qu'environ 3.8 billions de JPY seraient consacrés à la reconstruction et à la prévention des catastrophes naturelles, et 3.1 billions destinés à stimuler l'investissement privé et d'autres mesures allant dans le même sens.
Il était aussi à noter que le pays du soleil levant avait enregistré un déficit des son commerce extérieur s'élevant à 222.4 miliards de JPY pouur novembre, le premier en dix mois, pulvérisant les 3.5 milliards déjà redoutés.
Les supermarchés Supervalu ont trouvé un accord de vente de cinq de ses chaînes de magasins pour réduire le fardeau de leur endettement, pour la somme de 3.3 milliards d'USD, déboursée par un groupe d'investisseurs menés par Cerberus Capital Management.
Les valeurs liées aux matières premières étaient aussi sur la devant de la scène, Exxon Mobil ayant avoué des problèmes de torchage au sein de sa raffinerie de Beaumont, au Texas, qui traite 344 500 barils par jour.
La compagnie de gestion de cartes de crédit American Express reculait de 0.46% en pré-ouverture après avoir avoué compter supprimer 5 400 emplois, représentant 8.5% de ses salariés, devant se restructurer et payer ses frais de justice.
Le constructeur aéronautique Boeing était aussi sous les feux de l'actualité, après qu'un exemplaire de son 787 Dreamliner ait subi vendredi une fente de son pare-brise et une fuite d'huile lors de différents vols, le faisant plonger de 0.78% après la clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en petite forme, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.05%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0.29%, le DAX 30 allemand arrachant 0.09% et le FTSE 100 britannique de 0.12%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.39%, et le Nikkei 225 japonais bondissait de 1.4%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté conclure la semaine avec le solde de la balance commerciale nationale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.06%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.01%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une amélioration de 0.04%.
Mais le moral restait plutôt bon, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait prédit qu'une reprise économique progressive débuterait cette année, les réformes structurelles et ses propres actions visant à résoudre la crise de la dette régionale agissant dans la continuité.
Shinzo Abe, premier ministre japonais sur le retour, avait dévoilé à l'aube dévoilé un plan impliquant 10.3 billions de JPY de mesures stimulatrices, destinées à mettre fin à la déflation et donner un coup de fouet à la croissance.
Le gouvernement a précisé qu'environ 3.8 billions de JPY seraient consacrés à la reconstruction et à la prévention des catastrophes naturelles, et 3.1 billions destinés à stimuler l'investissement privé et d'autres mesures allant dans le même sens.
Il était aussi à noter que le pays du soleil levant avait enregistré un déficit des son commerce extérieur s'élevant à 222.4 miliards de JPY pouur novembre, le premier en dix mois, pulvérisant les 3.5 milliards déjà redoutés.
Les supermarchés Supervalu ont trouvé un accord de vente de cinq de ses chaînes de magasins pour réduire le fardeau de leur endettement, pour la somme de 3.3 milliards d'USD, déboursée par un groupe d'investisseurs menés par Cerberus Capital Management.
Les valeurs liées aux matières premières étaient aussi sur la devant de la scène, Exxon Mobil ayant avoué des problèmes de torchage au sein de sa raffinerie de Beaumont, au Texas, qui traite 344 500 barils par jour.
La compagnie de gestion de cartes de crédit American Express reculait de 0.46% en pré-ouverture après avoir avoué compter supprimer 5 400 emplois, représentant 8.5% de ses salariés, devant se restructurer et payer ses frais de justice.
Le constructeur aéronautique Boeing était aussi sous les feux de l'actualité, après qu'un exemplaire de son 787 Dreamliner ait subi vendredi une fente de son pare-brise et une fuite d'huile lors de différents vols, le faisant plonger de 0.78% après la clôture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt en petite forme, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.05%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0.29%, le DAX 30 allemand arrachant 0.09% et le FTSE 100 britannique de 0.12%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.39%, et le Nikkei 225 japonais bondissait de 1.4%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté conclure la semaine avec le solde de la balance commerciale nationale.