Investing.com - Les bourses européennes restaient en difficulté ce lundi après-midi, le moral étant retombé dans le sillage de perforances décevantes de la part de la France et de l'Allemagne, et de la dégradation de la notation attribuée par Fitch à l'Italie.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.41%, et le DAX 30 allemand de 0.26 %.
Les autorités françaises ont en effet déploré un recul de 1.2% de la production industrielle en janvier, au lieu du sursaut de 0.1% espéré, après les 0.1% déjà perdus le mois précédent.
Il avait auparavant été souligné que l'excédent du commerce extérieur s'était dans le même temps réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros en Allemagne.
La dégradation d'un cran de la note A- accordée par l'agence Fitch Ratings à l'Italie vers BBB+ avec une perspective négative lors de la journée de cotation précédente avait aussi exacerbé la tendance.
La finance s'en est ressentie, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 0.69 et 2.28%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0.99 et 0.88%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA plongeant de 2.18 et 1.3%, dépassés par les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.9 et 2.58%.
Mais tout nétait pas désespéré, Nordex engrangeant 12.69% après avoir revendiqué des revenus bruts de 14 millions d'euros, dépassant ainsi les espérances.
A Londres, le FTSE 100 a réussi à conquérir 0.19%, bien les établissements financiers de Grande-Bretagne suivent encore le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi dérapé de 0.76%, et Lloyds Banking de 1.6%, Barclays et la Royal Bank of Scotland faisant encore pire avec 2.53 et 2.82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto se rétractant de 0.38%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.6 et 0.09%.
Le Sage Group a toutefois limité les dégâts à 3.28% après que Morgan Stanley ait confiré son appréciation neutre à son égard.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Mais le spectre d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale était de retour après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'inflation de la Chine avait grimpé le mois dernier à son plus haut niveau en dix mois, tandis que la production industrielle et les ventes au détail décevaient.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.41%, et le DAX 30 allemand de 0.26 %.
Les autorités françaises ont en effet déploré un recul de 1.2% de la production industrielle en janvier, au lieu du sursaut de 0.1% espéré, après les 0.1% déjà perdus le mois précédent.
Il avait auparavant été souligné que l'excédent du commerce extérieur s'était dans le même temps réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros en Allemagne.
La dégradation d'un cran de la note A- accordée par l'agence Fitch Ratings à l'Italie vers BBB+ avec une perspective négative lors de la journée de cotation précédente avait aussi exacerbé la tendance.
La finance s'en est ressentie, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 0.69 et 2.28%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0.99 et 0.88%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA plongeant de 2.18 et 1.3%, dépassés par les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.9 et 2.58%.
Mais tout nétait pas désespéré, Nordex engrangeant 12.69% après avoir revendiqué des revenus bruts de 14 millions d'euros, dépassant ainsi les espérances.
A Londres, le FTSE 100 a réussi à conquérir 0.19%, bien les établissements financiers de Grande-Bretagne suivent encore le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi dérapé de 0.76%, et Lloyds Banking de 1.6%, Barclays et la Royal Bank of Scotland faisant encore pire avec 2.53 et 2.82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto se rétractant de 0.38%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 2.6 et 0.09%.
Le Sage Group a toutefois limité les dégâts à 3.28% après que Morgan Stanley ait confiré son appréciation neutre à son égard.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Mais le spectre d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale était de retour après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'inflation de la Chine avait grimpé le mois dernier à son plus haut niveau en dix mois, tandis que la production industrielle et les ventes au détail décevaient.