Investing.com - Les bourses européennes ont fait mieux que limiter la casse ce mercredi matin, dans le sillage de résultats plutôt positifs de la part de l'Allemagne, notamment sur le front de l'emploi, apaisant ainsi les craintes sur les perspectives du pays.
La prudence restait cependant de mise dans l'expectative de la prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,2%, le CAC 40 français de 0,1%, et le DAX 30 allemand retrouvait l'équilibre.
Une étude officielle a ainsi souligné que le nombre des demandeurs d'emploi avait diminué pour la seconde fois d'affilée, bienque le taux de chômage demeure stable.
Le bureau fédéral des statistiques en a dénombré 7.000 de moins en Allemagne pour le mois dernier, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
La nervosité était palpable à l'approche du bulletin sur la politique monétaire de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs mensuels.
Les chiffres de la croissance américaine du second trimestre ne seront pas non plus à négliger, afin d'évaluer la force de la relance américaine.
Il fallait noter la belle performance du cnstructeur automobile français Peugeot, accélérant de 7,3% après n'avoir déploré que 65 millions d'euros de pertes pour le premier semstre, au lieu des 296 millions redoutés.
Anheuser-Busch InBev voyait aussi un chiffre d'affaires et des bénéfices supérieurs aux attentes, grimpant de 6,7%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,5%, à la veille du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,1% également.
Les autorités européennes devaient d'autre part connaître aujourd'hui l'état des prix à la consommation et le taux de chômage de la région.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité du secteur secondaire dans la région de Chicago.
La prudence restait cependant de mise dans l'expectative de la prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,2%, le CAC 40 français de 0,1%, et le DAX 30 allemand retrouvait l'équilibre.
Une étude officielle a ainsi souligné que le nombre des demandeurs d'emploi avait diminué pour la seconde fois d'affilée, bienque le taux de chômage demeure stable.
Le bureau fédéral des statistiques en a dénombré 7.000 de moins en Allemagne pour le mois dernier, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
La nervosité était palpable à l'approche du bulletin sur la politique monétaire de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs mensuels.
Les chiffres de la croissance américaine du second trimestre ne seront pas non plus à négliger, afin d'évaluer la force de la relance américaine.
Il fallait noter la belle performance du cnstructeur automobile français Peugeot, accélérant de 7,3% après n'avoir déploré que 65 millions d'euros de pertes pour le premier semstre, au lieu des 296 millions redoutés.
Anheuser-Busch InBev voyait aussi un chiffre d'affaires et des bénéfices supérieurs aux attentes, grimpant de 6,7%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,5%, à la veille du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,1% également.
Les autorités européennes devaient d'autre part connaître aujourd'hui l'état des prix à la consommation et le taux de chômage de la région.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'évolution leur produit intérieur brut, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité du secteur secondaire dans la région de Chicago.