Investing.com - Le dollar U.S. restait modérément en forme face à la plupart de ses concurrents, notamment européen et japonais, ce mercredi matin, sa percée se trouvant jugulée par l'expectative de la publication du procès-verbal de la dernière prise de cap de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,23% pour tomber à 1,3385 au cours de transactions raréfiées.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant l'éventualité du coup de frein à ses assouplissements quantitatifs dès septembre ont nettement enflé ces derniers temps.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,25% pour se hisser à 97,50.
L'unité monétaire du pays du soleil levant avait paradoxalement retrouvé quelques couleurs à l'aube, après que l'autorité nucléaire japonaise ait déclaré vouloir revoir à la hausse la mesure de la quantité d'eau contaminée relâchée par la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi depuis le premier niveau vers le troisième, sur une échelle qui en compte sept.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, aux abords d'une ornière de deux mois, le GBP/USD frémissant de 0,17% pour prendre pied à 1,5694.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé du mordant après que la confédération des entreprises britanniques CBI ait revendiqué une hausse des commandes industrielles à leur plus haut niveau annuel en août, laissant entrevoir des perspectives économiques positives.
Elle n'avait auparavant guère fait cas du déficit du secteur public britannique enregistré pour le mois passé, s'élevant à 1,6 milliards de GBP, le premier depuis 2010, alors que les comptes bénéficient généralement de l'encaissement de contributions.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,23% pour culminer à 0,9195.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD fondant de 0,41% pour se retrouver à 0,9032, le NZD/USD se laissant arracher 0,89% pour toucher le fond à 0,7908 et l'USD/CAD prenant 0,36% pour monter à 1,0430.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,25% pour se situer à 81,14.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,23% pour tomber à 1,3385 au cours de transactions raréfiées.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant l'éventualité du coup de frein à ses assouplissements quantitatifs dès septembre ont nettement enflé ces derniers temps.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,25% pour se hisser à 97,50.
L'unité monétaire du pays du soleil levant avait paradoxalement retrouvé quelques couleurs à l'aube, après que l'autorité nucléaire japonaise ait déclaré vouloir revoir à la hausse la mesure de la quantité d'eau contaminée relâchée par la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi depuis le premier niveau vers le troisième, sur une échelle qui en compte sept.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, aux abords d'une ornière de deux mois, le GBP/USD frémissant de 0,17% pour prendre pied à 1,5694.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé du mordant après que la confédération des entreprises britanniques CBI ait revendiqué une hausse des commandes industrielles à leur plus haut niveau annuel en août, laissant entrevoir des perspectives économiques positives.
Elle n'avait auparavant guère fait cas du déficit du secteur public britannique enregistré pour le mois passé, s'élevant à 1,6 milliards de GBP, le premier depuis 2010, alors que les comptes bénéficient généralement de l'encaissement de contributions.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,23% pour culminer à 0,9195.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD fondant de 0,41% pour se retrouver à 0,9032, le NZD/USD se laissant arracher 0,89% pour toucher le fond à 0,7908 et l'USD/CAD prenant 0,36% pour monter à 1,0430.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,25% pour se situer à 81,14.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.