Investing.com - Les options sur l'or étaient en net repli ce vendredi, , dans l'expectative de chiffres provenant des Etats-Unis, après que ceux divulgués hier aient ranimé la polémique sur une éventuelle réduction des coups de pouce de leur banque centrale.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.394,20 USD de l'once seconde partie de séance européenne, plongeant de 1,32%.
La session précédente les avait vus conclure à 1.412,90 USD, avec un passage à vide de 0,42%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.368,40 USD, leur plancher du 23 août, et rencontrer de la résistance à 1.418,00 USD, leur plafond d'hier.
Ils avaient perdu hier de leur superbe, après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part dénombré pour la semaine achevée le 24 août dénombré 6.000 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, le plus faible depuis octobre 2007, alors qu'une soustraction de seulement 5.000 était espérée.
Ces bons résultats dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain, en raison des signes de solidification de la relance.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
L'idée selon laquelle elle envisagerait de resserrer les boulons profitait du coup au billet vert.
La nervosité restait palpable en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que celui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts du pays dont il est le président, mais qu'il continuerait à en discuter avec la Grande-Bretagne, bien que le parlement de celle-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dégringolé de 1,17% pour reprendre pied à 23,705 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,40% pour se retrouver à 3,247 USD la livre dans le même temps.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.394,20 USD de l'once seconde partie de séance européenne, plongeant de 1,32%.
La session précédente les avait vus conclure à 1.412,90 USD, avec un passage à vide de 0,42%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.368,40 USD, leur plancher du 23 août, et rencontrer de la résistance à 1.418,00 USD, leur plafond d'hier.
Ils avaient perdu hier de leur superbe, après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part dénombré pour la semaine achevée le 24 août dénombré 6.000 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, le plus faible depuis octobre 2007, alors qu'une soustraction de seulement 5.000 était espérée.
Ces bons résultats dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain, en raison des signes de solidification de la relance.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
L'idée selon laquelle elle envisagerait de resserrer les boulons profitait du coup au billet vert.
La nervosité restait palpable en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que celui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts du pays dont il est le président, mais qu'il continuerait à en discuter avec la Grande-Bretagne, bien que le parlement de celle-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs dégringolé de 1,17% pour reprendre pied à 23,705 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,40% pour se retrouver à 3,247 USD la livre dans le même temps.