Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, à l'approche de la seconde semaine de mise à pied partielle des fonctionnaires aux Etats-Unis, sous la menace d'un éventuel défaut de paiement national.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,61% pour se retrouver à 96,86, établissant au passage un nouveau creux de cinq semaines.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relance des institutions ni ne remonteraient le plafond de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas d'envisager les réductions de dépenses qu'ils exigent.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements était possible.
Il en allait de même dans une moindre mesure avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3572.
Il avait auparavant été révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une expansion de 0,3% au second trimestre, conformément aux évaluations préliminaires et aux pronostics.
Il était cependant à noter que l'indice de la confiance des investisseurs dans la région établi par l'institut de recherches économiques Sentix subissait une érosion de 6,5 vers 6,1 pour ce mois-ci, les chicaneries politiques outre-Atlantique ayant laissé peu de chances au frémissement à 10,6 espéré d'avoir lieu.
Le billet vert a toutefois cédé davantage de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,49% pour se hisser à 1,6087.
Il a mieux résisté à la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,46% pour tomber à 0,9036, tout en demeurant aux abords d'une ornière de 20 mois.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se laissant arracher 0,29% pour descendre à 0,9404, le NZD/USD sombrant de 0,54% pour toucher le fond à 0,8274 et l'USD/CAD progressant de 0,31% pour aller vers 1,0327.
La troisième s'est retrouvée au plus bas de la journée après que les autorités du Canada aient accordé 21,1% de permis de construire, alors qu'un bond de 21,4% après révision à la hausse avait été mesuré pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir un coup de frein de plus de 7%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,20% pour se situer à 80,08.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,61% pour se retrouver à 96,86, établissant au passage un nouveau creux de cinq semaines.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relance des institutions ni ne remonteraient le plafond de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas d'envisager les réductions de dépenses qu'ils exigent.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements était possible.
Il en allait de même dans une moindre mesure avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3572.
Il avait auparavant été révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une expansion de 0,3% au second trimestre, conformément aux évaluations préliminaires et aux pronostics.
Il était cependant à noter que l'indice de la confiance des investisseurs dans la région établi par l'institut de recherches économiques Sentix subissait une érosion de 6,5 vers 6,1 pour ce mois-ci, les chicaneries politiques outre-Atlantique ayant laissé peu de chances au frémissement à 10,6 espéré d'avoir lieu.
Le billet vert a toutefois cédé davantage de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,49% pour se hisser à 1,6087.
Il a mieux résisté à la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,46% pour tomber à 0,9036, tout en demeurant aux abords d'une ornière de 20 mois.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se laissant arracher 0,29% pour descendre à 0,9404, le NZD/USD sombrant de 0,54% pour toucher le fond à 0,8274 et l'USD/CAD progressant de 0,31% pour aller vers 1,0327.
La troisième s'est retrouvée au plus bas de la journée après que les autorités du Canada aient accordé 21,1% de permis de construire, alors qu'un bond de 21,4% après révision à la hausse avait été mesuré pour juillet.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir un coup de frein de plus de 7%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,20% pour se situer à 80,08.