Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, après que les services de la Maison Blanche aient fait savoir que le président Barack Obama s'apprêtait à proposer Janet Yellen à la tête de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,60% pour se hisser à 97,44.
Il a profité de cette nouvelle en raison de l'espoir que la politique monétaire demeure stabilisée dans son état de souplesse actuel, au cas où elle serait avalisée par le sénat pour prendre la succession de Ben Bernanke, le président actuel de la Réserve Fédérale, au terme de son mandat le 31 janvier.
La prudence restait de mise en cette seconde semaine de paralysie partielle des administrations des Etats-Unis, avec peu de raisons d'espérer une résolution du bras de fer sur le budget avant la date fatidique du 17 octobre, au-delà de laquelle un défaut de paiement de leur part serait difficilement évitable.
Olivier Blanchard, chef économiste au Fonds Monétaire International, a déclaré hier qu'un échec dans la remontée du plafond de la dette nationale pourrait entraîner des "perturbations majeures" sur les marchés financiers du pays et de la planète entière.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,38% pour tomber à 1,3521.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,70% pour chuter à 1,5970, creusant une ornière de deux semaines dans le sillage des pires résultats pour le secteur secondaire de l'économie en près d'un an là où elle a cours, semant le doute sur sa croissance pour le troisième trimestre.
La bureau britannique des statistiques a en effet mesuré une diminution de 1,1% de la production industrielle pour août, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré pour prolonger les 0,1% précédents.
Il a aussi déploré un faux pas de 1,2% de son équivalent manufacturier sur la même période, alors qu'une avancée de 0,4% semblait probable.
Il était d'autre part à noter que le déficit du comerce extérieur sur les marchandises s'était réduit depuis les 9,94 milliards de GBP de juillet vers 9,63 milliards de GBP, mais une limitation à 9 milliards avaient été pressentie.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,72% pour culminer à 0,9104.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,27% pour se retrouver à 0,9448, le NZD/USD arrachant 0,16% pour culminer à 0,8301 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0376.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,45% pour se situer à 80,43.
Les observateurs guettent pour la fin de journée la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui avait en supris certains en déclarant souhaiter attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,60% pour se hisser à 97,44.
Il a profité de cette nouvelle en raison de l'espoir que la politique monétaire demeure stabilisée dans son état de souplesse actuel, au cas où elle serait avalisée par le sénat pour prendre la succession de Ben Bernanke, le président actuel de la Réserve Fédérale, au terme de son mandat le 31 janvier.
La prudence restait de mise en cette seconde semaine de paralysie partielle des administrations des Etats-Unis, avec peu de raisons d'espérer une résolution du bras de fer sur le budget avant la date fatidique du 17 octobre, au-delà de laquelle un défaut de paiement de leur part serait difficilement évitable.
Olivier Blanchard, chef économiste au Fonds Monétaire International, a déclaré hier qu'un échec dans la remontée du plafond de la dette nationale pourrait entraîner des "perturbations majeures" sur les marchés financiers du pays et de la planète entière.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,38% pour tomber à 1,3521.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,70% pour chuter à 1,5970, creusant une ornière de deux semaines dans le sillage des pires résultats pour le secteur secondaire de l'économie en près d'un an là où elle a cours, semant le doute sur sa croissance pour le troisième trimestre.
La bureau britannique des statistiques a en effet mesuré une diminution de 1,1% de la production industrielle pour août, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré pour prolonger les 0,1% précédents.
Il a aussi déploré un faux pas de 1,2% de son équivalent manufacturier sur la même période, alors qu'une avancée de 0,4% semblait probable.
Il était d'autre part à noter que le déficit du comerce extérieur sur les marchandises s'était réduit depuis les 9,94 milliards de GBP de juillet vers 9,63 milliards de GBP, mais une limitation à 9 milliards avaient été pressentie.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,72% pour culminer à 0,9104.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,27% pour se retrouver à 0,9448, le NZD/USD arrachant 0,16% pour culminer à 0,8301 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0376.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,45% pour se situer à 80,43.
Les observateurs guettent pour la fin de journée la publication du compte-rendu de la dernière réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui avait en supris certains en déclarant souhaiter attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.