Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce vendredi matin, malgré l'espoir que les politiciens américains soient sur le point de trouver un accord qui permettrait de mettre fin à l'impasse sur le budget fédéral avant la date fatidique où la dette nationale atteindra sa limite.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 102,70 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,31%.
La session précédente les avait vus conclure à 103,01 USD, avec une avancée de 1,38%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 101,21 USD, leur plancher de jeudi, et rencontrer de la résistance à court terme à 103,75 USD, leur plafond du 9 octobre.
Un consensus n'a pas réussi à émerger hier au cours des 90 minutes de prise de contact entre le président Obama et les chefs de file de l'opposition républicaine, mais les négociations se sont prolongées jusque tard dans la nuit afin de relancer les administrations et d'éviter un éventuel défaut de paiement.
Jack Lew, ministre des finances des Etats-Unis, avait rappelé hier devant le comité financier sénatorial des Etats-Unis que ceux-ci atteindraient leur plafond d'endettement maximal le 17 octobre, et que les chicaneries commençaient à avoir des conséquences économiques.
Le billet vert gardait aussi du mordant après que le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la Réserve Fédérale ait montré que la décision en faveur du statu quo concernant ses apports de capitaux avait été prise "de justesse", ranimant le spectre d'une fermeture de ses robinets dans les prochains mois.
Les cours avaient bondi hier en raison d'évènements touchant la Libye jetant une ombre sur la production de cette dernière.
Un groupe d'anciens rebelles dirigés par le ministère de l'intérieur avait en effet exfiltré mercredi le premier ministre Ali Zaidan d'un hôtel de Tripoli pour l'emmener en un lieu inconnu.
Il a par la suite été relâché, après que les autorités aient déclaré qu'il avait été arrêté sur la foi d'informations erronées selon lesquelles un mandat avait été émis à son encontre.
Le pays détient les puits les plus importants d'Afrique, et la zone du aghreb et du Moyen-Orient était responsable de 36% de la production mondiale et abritait 52% des réserves prouvées en 2012.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont perdu 0,31% pour glisser à 111,46 USD du baril dans le même temps, soit 8,76 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 102,70 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,31%.
La session précédente les avait vus conclure à 103,01 USD, avec une avancée de 1,38%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 101,21 USD, leur plancher de jeudi, et rencontrer de la résistance à court terme à 103,75 USD, leur plafond du 9 octobre.
Un consensus n'a pas réussi à émerger hier au cours des 90 minutes de prise de contact entre le président Obama et les chefs de file de l'opposition républicaine, mais les négociations se sont prolongées jusque tard dans la nuit afin de relancer les administrations et d'éviter un éventuel défaut de paiement.
Jack Lew, ministre des finances des Etats-Unis, avait rappelé hier devant le comité financier sénatorial des Etats-Unis que ceux-ci atteindraient leur plafond d'endettement maximal le 17 octobre, et que les chicaneries commençaient à avoir des conséquences économiques.
Le billet vert gardait aussi du mordant après que le procès-verbal de la réunion tenue en septembre par la Réserve Fédérale ait montré que la décision en faveur du statu quo concernant ses apports de capitaux avait été prise "de justesse", ranimant le spectre d'une fermeture de ses robinets dans les prochains mois.
Les cours avaient bondi hier en raison d'évènements touchant la Libye jetant une ombre sur la production de cette dernière.
Un groupe d'anciens rebelles dirigés par le ministère de l'intérieur avait en effet exfiltré mercredi le premier ministre Ali Zaidan d'un hôtel de Tripoli pour l'emmener en un lieu inconnu.
Il a par la suite été relâché, après que les autorités aient déclaré qu'il avait été arrêté sur la foi d'informations erronées selon lesquelles un mandat avait été émis à son encontre.
Le pays détient les puits les plus importants d'Afrique, et la zone du aghreb et du Moyen-Orient était responsable de 36% de la production mondiale et abritait 52% des réserves prouvées en 2012.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont perdu 0,31% pour glisser à 111,46 USD du baril dans le même temps, soit 8,76 USD de mieux que leurs homologues américaines.