Investing.com - L'euro s'est hissée vers son plus haut niveau en huit mois et demi face au dollar U.S. ce vendredi matin, son adversaire subissant l'angoisse des conséquences de la paralysie ayant frappé administrations des Etats-Unis.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3687 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le premier février, puis s'est stabilisée vers 1,3689, grignotant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3581, son plancher du 3 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3711, son plafond déjà évoqué.
La billet vert subissait toujours le spectre de l'impact des mises à pied des fonctionnaires sur une reprise fragile, car la Réserve Fédérale pourrait se trouver incitée à retarder la réduction de ses injections de liquidités jusqu'à l'année prochaine.
L'épée de Damoclès de la dette persistait aussi, le bricolage temporaire d'hier ne résolvant pas les problèmes opposant démocrates et républicains sur le fond.
Il permettra de payer les fonctionnaires jusqu'au 15 janvier et de remonter le plafond d'endettement national jusqu'au 7 février, les deux camps ayant accepté de discuter des problèmes de budget plus généraux afin de tenter de trouver une solution à plus long terme d'ici le 13 décembre.
Le moral est cependant revenu après qu'il ait été montré que le produit intérieur brut de la Chine avait augmenté de 7,8% au troisième trimestre comme prévu, améliorant ainsi les 7,5% du second.
Cette bonne performance a du coup apaisé les angoisses au sujet de la vigueur de la relance de la seconde économie mondiale.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8459.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3687 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le premier février, puis s'est stabilisée vers 1,3689, grignotant 0,10%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3581, son plancher du 3 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3711, son plafond déjà évoqué.
La billet vert subissait toujours le spectre de l'impact des mises à pied des fonctionnaires sur une reprise fragile, car la Réserve Fédérale pourrait se trouver incitée à retarder la réduction de ses injections de liquidités jusqu'à l'année prochaine.
L'épée de Damoclès de la dette persistait aussi, le bricolage temporaire d'hier ne résolvant pas les problèmes opposant démocrates et républicains sur le fond.
Il permettra de payer les fonctionnaires jusqu'au 15 janvier et de remonter le plafond d'endettement national jusqu'au 7 février, les deux camps ayant accepté de discuter des problèmes de budget plus généraux afin de tenter de trouver une solution à plus long terme d'ici le 13 décembre.
Le moral est cependant revenu après qu'il ait été montré que le produit intérieur brut de la Chine avait augmenté de 7,8% au troisième trimestre comme prévu, améliorant ainsi les 7,5% du second.
Cette bonne performance a du coup apaisé les angoisses au sujet de la vigueur de la relance de la seconde économie mondiale.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8459.