Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans direction claire ce mardi après-midi, la nervosité étant palpable au vu des incertitudes sur le calendrier de réduction des aides de la banque centrale des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,03%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,06%.
Les valeurs mondiales gardaient des couleurs après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs actuels au début de l'année prochaine.
William C. Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, a cependant déclaré hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sont sur toutes les lèvres, en quête d'indices sur les orientations futures.
Le constructeurs automobiles étaiennt attendus au tournant, après que la berline de luxe électrique Model S de Tesla Motors ait été placée sous une enquête des autorités fédérales des transports en vue d'un possible rappel, suite à trois incendies en cinq semaines.
La compagnie d'Elon Musk plongeait du coup de 2,51% en pré-ouverture.
Sur le front technologique, Apple grignotait 0,02% après les derniers échanges, alors qu'il se murmurait qu'il envisage de rachat de l'israélien PrimeSense, fournisseur de la puce de détection de mouvements équipant le Kinect des consoles de jeux vidéo Microsoft.
Sony, qui devrait pour sa part discuter cette semaine avec ses actionnaires des moyens d'améliorer le rendement de sa branche divertissement, aurait aussi engagé le cabinet Bain & Co. afin de dégager 100 millions d'USD de coupes, lui faisant engranger 0,48% après la fin des hostilités.
Le fournisseur de logiciels de gestion de clients Salesforce.com dérapait par contre de 0,92% dans le même temps, malgré des prévisions de rentrées dépassant certaines espérances pour les trois derniers mois de l'année, ses acquisitions ayant permis de renforcer ses ventes d'outils de démarchage.
L'actualité était aussi le fait de Home Depot, revendiquant des résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grâce à d'importantes recettes, provoquant une envolée de 2,61% avant le début des transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter JC Penney, Lowe's et Deere & Co., dont les performances seront proclamées sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 sombrant de 0,96%, le CAC 40 français de 1,10%, le DAX 30 allemand de 0,48% et le FTSE 100 britannique de 0,56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se rétractait de 0,01%, et le Nikkei 225 japonais de 0,25%.
L'Organisation de Coopération et de Développement Economiques a pour sa part raboté ses prédictions de croissance pour l'année prochaine depuis 4 vers 3,6%, avertissant que la situation des pays émergents se détériorait.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,03%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,10% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,06%.
Les valeurs mondiales gardaient des couleurs après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs actuels au début de l'année prochaine.
William C. Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, a cependant déclaré hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sont sur toutes les lèvres, en quête d'indices sur les orientations futures.
Le constructeurs automobiles étaiennt attendus au tournant, après que la berline de luxe électrique Model S de Tesla Motors ait été placée sous une enquête des autorités fédérales des transports en vue d'un possible rappel, suite à trois incendies en cinq semaines.
La compagnie d'Elon Musk plongeait du coup de 2,51% en pré-ouverture.
Sur le front technologique, Apple grignotait 0,02% après les derniers échanges, alors qu'il se murmurait qu'il envisage de rachat de l'israélien PrimeSense, fournisseur de la puce de détection de mouvements équipant le Kinect des consoles de jeux vidéo Microsoft.
Sony, qui devrait pour sa part discuter cette semaine avec ses actionnaires des moyens d'améliorer le rendement de sa branche divertissement, aurait aussi engagé le cabinet Bain & Co. afin de dégager 100 millions d'USD de coupes, lui faisant engranger 0,48% après la fin des hostilités.
Le fournisseur de logiciels de gestion de clients Salesforce.com dérapait par contre de 0,92% dans le même temps, malgré des prévisions de rentrées dépassant certaines espérances pour les trois derniers mois de l'année, ses acquisitions ayant permis de renforcer ses ventes d'outils de démarchage.
L'actualité était aussi le fait de Home Depot, revendiquant des résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grâce à d'importantes recettes, provoquant une envolée de 2,61% avant le début des transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter JC Penney, Lowe's et Deere & Co., dont les performances seront proclamées sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 sombrant de 0,96%, le CAC 40 français de 1,10%, le DAX 30 allemand de 0,48% et le FTSE 100 britannique de 0,56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se rétractait de 0,01%, et le Nikkei 225 japonais de 0,25%.
L'Organisation de Coopération et de Développement Economiques a pour sa part raboté ses prédictions de croissance pour l'année prochaine depuis 4 vers 3,6%, avertissant que la situation des pays émergents se détériorait.