Investing.com - La livre sterling a redressé la barre face au dollar U.S. ce jeudi matin, à l'orée de l'annonce à la mi-journée des taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre, les piètres résultats économiques de la région où elle a cours semant le doute quand aux possibilités de rebond durable après une forte récession.
La paire GBP/USD est remontée jusqu'à 1.6134 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6112, prenant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6065, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6174, son plafond du premier octobre.
Le moral demeurait toutefois soutenu par l'idée d'un recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, permettant du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, ce qui apaiserait probablement le problème du surendettement du bloc ayant adopté la monnaie unique.
Les performances supérieures aux attentes dans le domaine des services et des employeurs privés américains avaient d'autre part apaisé hier les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiales.
La banque centrale du Royaume-Uni ne devrait vraisemblablement pas modifier sa politique monétaire une fois sa réunion d'aujourd'hui achevée, mais la prochaine pourrait toutefois apporter du changement, en raison des angoisses grandissantes causées par une économie nationale en dents de scie.
Les prestataires de services du pays avaient ainsi constaté hier que le mois passé avait entraîné les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, suite au fléchissement de l'expansion.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.01% pour glisser à 0.8026.
La BCE a elle aussi de fortes chances d'opter pour le statu quo une fois sa prise de cap effectuée.
Le décompte hebdomadaire par les autorités américaines des nouvelles inscriptions au chômage était aussi très surveillé, tandis que la Réserve Fédérale comptait publier dans l'après-midi le compte-rendu détaillé de sa réunion de septembre.
La paire GBP/USD est remontée jusqu'à 1.6134 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6112, prenant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6065, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6174, son plafond du premier octobre.
Le moral demeurait toutefois soutenu par l'idée d'un recours de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, permettant du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, ce qui apaiserait probablement le problème du surendettement du bloc ayant adopté la monnaie unique.
Les performances supérieures aux attentes dans le domaine des services et des employeurs privés américains avaient d'autre part apaisé hier les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiales.
La banque centrale du Royaume-Uni ne devrait vraisemblablement pas modifier sa politique monétaire une fois sa réunion d'aujourd'hui achevée, mais la prochaine pourrait toutefois apporter du changement, en raison des angoisses grandissantes causées par une économie nationale en dents de scie.
Les prestataires de services du pays avaient ainsi constaté hier que le mois passé avait entraîné les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, suite au fléchissement de l'expansion.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.01% pour glisser à 0.8026.
La BCE a elle aussi de fortes chances d'opter pour le statu quo une fois sa prise de cap effectuée.
Le décompte hebdomadaire par les autorités américaines des nouvelles inscriptions au chômage était aussi très surveillé, tandis que la Réserve Fédérale comptait publier dans l'après-midi le compte-rendu détaillé de sa réunion de septembre.