Investing.com - L'euro n'a presque pas fléchi face au dollar U.S. ce mardi, alors que les observateurs guettaient la réunion des ministres des finances de la zone où il a cours portant sur un possible déblocage de la bouée de sauvetage destinée à Athènes.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.2764, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.2806 en fin de première partie de séance européenne, limitant les dégâts à 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2689, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.2875, son plafond du 7 novembre.
Les membres de l'Eurogroupe doivent en effet décider aujourd'hui de l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
Les dirigeants européens avaient accordé la semaine dernière deux ans de délai supplémentaire pour remettre de l'ordre dans ses comptes, entrant ainsi en désaccord avec le Fonds Monétaire International, redoutant un accroissement du fardeau de la dette nationale.
La monnaie unique avait plongé à l'aube à son plus bas niveau journalier, après que l'agence de notation Moody's ait rabaissé dans la soirée son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1 et l'ait mise sous une surveillance négative, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais l'effondrement qui aurait pu être escompté n'a pas eu lieu, cette annonce ne constituant pas un choc après la manoeuvre similaire opérée en janvier par sa collègue Standard & Poor's.
L'Espagne a quand à elle réussi son émission de 5 milliards d'euros de bons du trésor à court terme, voyant ainsi les coûts de ses emprunts diminuer autant que la pression la poussant à appeler au secours.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP laissant échapper 0.16% pour se retrouver à 0.8041 et l'EUR/JPY dérapant de 0.09% pour glisser à 104.22.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés et celui des lancements de chantiers, tandis que Ben Bernanke, président de leur Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'un symposium à New York.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.2764, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.2806 en fin de première partie de séance européenne, limitant les dégâts à 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2689, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.2875, son plafond du 7 novembre.
Les membres de l'Eurogroupe doivent en effet décider aujourd'hui de l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
Les dirigeants européens avaient accordé la semaine dernière deux ans de délai supplémentaire pour remettre de l'ordre dans ses comptes, entrant ainsi en désaccord avec le Fonds Monétaire International, redoutant un accroissement du fardeau de la dette nationale.
La monnaie unique avait plongé à l'aube à son plus bas niveau journalier, après que l'agence de notation Moody's ait rabaissé dans la soirée son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1 et l'ait mise sous une surveillance négative, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais l'effondrement qui aurait pu être escompté n'a pas eu lieu, cette annonce ne constituant pas un choc après la manoeuvre similaire opérée en janvier par sa collègue Standard & Poor's.
L'Espagne a quand à elle réussi son émission de 5 milliards d'euros de bons du trésor à court terme, voyant ainsi les coûts de ses emprunts diminuer autant que la pression la poussant à appeler au secours.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP laissant échapper 0.16% pour se retrouver à 0.8041 et l'EUR/JPY dérapant de 0.09% pour glisser à 104.22.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés et celui des lancements de chantiers, tandis que Ben Bernanke, président de leur Réserve Fédérale, prendra la parole lors d'un symposium à New York.