La Bourse de Paris, qui a brutalement enfoncé les 4900 points hier, devrait poursuivre son repli vendredi dans l'attente de la première estimation de croissance du PIB de la zone euro au 3ème trimestre.
Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin novembre - se replie de 0,5% à 4831 points, prémisse d'une ouverture dans le rouge.
Après le trou d'air de la veille (-1,9%), certains analystes avertissent qu'une consolidation de 10% pourrait bien se matérialiser, avec un CAC parti pour combler le gap des 4817 points du 22 octobre dernier.
'Bref, ce marché ressemble assez à un couteau qui tombe, alors attention à ne pas rentrer trop vite en revenant sur certaines valeurs, même si elles évoluent à des plus bas', prévient un stratège.
Les investisseurs attendent les chiffres de l'activité économique dans la zone euro au troisième trimestre, qui tomberont en fin de matinée.
Ce matin, l'Insee a annoncé que le PIB en volume de la France avait augmenté de 0,3% au troisième trimestre, après une stabilité au deuxième trimestre, sous l'effet d'un redressement des dépenses de consommation.
L'Allemagne a elle aussi signé une croissance modérée de 0,3% sur la période allant de juillet à septembre.
Aux Etats-Unis paraîtront en début d'après-midi les chiffres des ventes au détail pour le mois d'octobre, toujours très suivis dans un pays où la consommation représente les deux-tiers de l'activité économique.
Hier, la dernière heure de cotations a été marquée par un accroissement de la pression baissière à Wall Street et tous les indices ont clôturé au 'plus bas du jour' avec notamment un repli de 1,4% pour le Dow Jones.
L'un des phénomènes les plus alarmants du jour a été la remontée du 'VIX', le baromètre de l'aversion au risque, après que Bill Dudley, le président de la Fed de New York eut déclaré qu'une hausse de taux en décembre apparaissait 'probable'.
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Vers 8h10, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin novembre - se replie de 0,5% à 4831 points, prémisse d'une ouverture dans le rouge.
Après le trou d'air de la veille (-1,9%), certains analystes avertissent qu'une consolidation de 10% pourrait bien se matérialiser, avec un CAC parti pour combler le gap des 4817 points du 22 octobre dernier.
'Bref, ce marché ressemble assez à un couteau qui tombe, alors attention à ne pas rentrer trop vite en revenant sur certaines valeurs, même si elles évoluent à des plus bas', prévient un stratège.
Les investisseurs attendent les chiffres de l'activité économique dans la zone euro au troisième trimestre, qui tomberont en fin de matinée.
Ce matin, l'Insee a annoncé que le PIB en volume de la France avait augmenté de 0,3% au troisième trimestre, après une stabilité au deuxième trimestre, sous l'effet d'un redressement des dépenses de consommation.
L'Allemagne a elle aussi signé une croissance modérée de 0,3% sur la période allant de juillet à septembre.
Aux Etats-Unis paraîtront en début d'après-midi les chiffres des ventes au détail pour le mois d'octobre, toujours très suivis dans un pays où la consommation représente les deux-tiers de l'activité économique.
Hier, la dernière heure de cotations a été marquée par un accroissement de la pression baissière à Wall Street et tous les indices ont clôturé au 'plus bas du jour' avec notamment un repli de 1,4% pour le Dow Jones.
L'un des phénomènes les plus alarmants du jour a été la remontée du 'VIX', le baromètre de l'aversion au risque, après que Bill Dudley, le président de la Fed de New York eut déclaré qu'une hausse de taux en décembre apparaissait 'probable'.
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