Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce lundi, les mauvais chiffres de l'emploi du pays alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements dee la part de la Réserve Fédérale, tandis que les craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro continuaient à peser sur le moral des marchés.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.07%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 de 0.21%.
Le département d'état au travail avait révélé vendredi que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'apports de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
L'évolution de la situation européenne était aussi au centre des attentions, après qu'il ait été montré que le chômage dans le bloc euro avait atteint un sommet historique à 11% en avril, tandis que flottait toujours l'épée de Damoclès d'un possible recours espagnol à une bouée de sauvetage internationale.
L'angoisse d'un ralentissement supérieur aux craintes de l'économie chinoise restait palpable, alors que l'espoir d'une nouvelle série de mesures stimulatrices à grande échelle pour regonfler la croissance de la seconde économie mondiale se dissipait.
Les laboratoires pharmaceutiques étaient attendus sur le devant de la scène, après que des tests cliniques du Zytiga de Johnson & Johnson aient montré un doublement du temps pendant lequel certains patients atteints d'un cancer de la prostate pouvaient vivre sans subir de rechute.
Un autre médicament expérimental, mis au point par Bristol-Myers Squibb, aiderait quand à lui à réduire les tumeurs de personnes luttant contre le mélanome malin, ainsi que les cancers des reins et des poumons, selon les résultats des premières tentatives de traitement.
Les valeurs technologiques se traouvait aussi sous les feux de l'actualité, Microsoft étant sur le point d'annoncer de nouvelles fonctions et partenariats médiatiques pour la console XboX 360 et son détecteur de mouvements Kinect, sans oublier de nouveaux jeux.
Les déclarations préliminaires devraient d'autre part débuter dans le procès de l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard contre Oracle, le premier ayant poursuivi l'éditeur de logiciels devant un tribunal californien pour rupture de contrat après que celui-ci ait cessé d'apporter son expertise au microprocesseur Itanium.
L'agence de presse Reuters avait auparavant signalé qu'American Airlines n'avait pas réussi à trouver d'accord de réduction des coûts avec le syndicat du personnel de bord, laissant la place à un juge, qui devra statuer sur l'annulation de contrat par la compagnie aérienne en déroute.
Parmi les autres compagnies faisant l'actualité, il se disait que Ford Motors serait en négociations avec ses partenaires de Chine afin de pouvoir introduire ses propres marques dans le pays.
Les bourses européennes étaient elles aussi plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.6%, et le CAC 40 français de 0.58%, tandis que le DAX 30 allemand dérapait de 0.97%, et que le FTSE 100 britannique demeurait clos pour cause de fête nationale.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 2.2%, et le Nikkei 225 japonais de 1.75%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi le volume officiel des commandes passées auprès de leurs usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.07%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 de 0.21%.
Le département d'état au travail avait révélé vendredi que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'apports de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
L'évolution de la situation européenne était aussi au centre des attentions, après qu'il ait été montré que le chômage dans le bloc euro avait atteint un sommet historique à 11% en avril, tandis que flottait toujours l'épée de Damoclès d'un possible recours espagnol à une bouée de sauvetage internationale.
L'angoisse d'un ralentissement supérieur aux craintes de l'économie chinoise restait palpable, alors que l'espoir d'une nouvelle série de mesures stimulatrices à grande échelle pour regonfler la croissance de la seconde économie mondiale se dissipait.
Les laboratoires pharmaceutiques étaient attendus sur le devant de la scène, après que des tests cliniques du Zytiga de Johnson & Johnson aient montré un doublement du temps pendant lequel certains patients atteints d'un cancer de la prostate pouvaient vivre sans subir de rechute.
Un autre médicament expérimental, mis au point par Bristol-Myers Squibb, aiderait quand à lui à réduire les tumeurs de personnes luttant contre le mélanome malin, ainsi que les cancers des reins et des poumons, selon les résultats des premières tentatives de traitement.
Les valeurs technologiques se traouvait aussi sous les feux de l'actualité, Microsoft étant sur le point d'annoncer de nouvelles fonctions et partenariats médiatiques pour la console XboX 360 et son détecteur de mouvements Kinect, sans oublier de nouveaux jeux.
Les déclarations préliminaires devraient d'autre part débuter dans le procès de l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard contre Oracle, le premier ayant poursuivi l'éditeur de logiciels devant un tribunal californien pour rupture de contrat après que celui-ci ait cessé d'apporter son expertise au microprocesseur Itanium.
L'agence de presse Reuters avait auparavant signalé qu'American Airlines n'avait pas réussi à trouver d'accord de réduction des coûts avec le syndicat du personnel de bord, laissant la place à un juge, qui devra statuer sur l'annulation de contrat par la compagnie aérienne en déroute.
Parmi les autres compagnies faisant l'actualité, il se disait que Ford Motors serait en négociations avec ses partenaires de Chine afin de pouvoir introduire ses propres marques dans le pays.
Les bourses européennes étaient elles aussi plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.6%, et le CAC 40 français de 0.58%, tandis que le DAX 30 allemand dérapait de 0.97%, et que le FTSE 100 britannique demeurait clos pour cause de fête nationale.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 2.2%, et le Nikkei 225 japonais de 1.75%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi le volume officiel des commandes passées auprès de leurs usines.