Investing.com - Les options sur le brut ont progressé sans précipitation ce jeudi, Le moral demeurant encouragé par l'idée d'une avancée décisive concernant l'accord de sauvetage de la Grèce, mais la remontée inattendue des prix au détail chinois a jugulé toute velléité de flambée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 99.14 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.45%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.3 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.5% d'amélioration, après avoir atteint hier les 100.07 USD, leur meilleur niveau depuis le 31 janvier.
Les dirigeants de la coalition hellène au pouvoir étaient sur le point d'accepter de mettre hier soir en place les mesures d'austérité après s'être mis d'accord lors de leurs tractations sur toutes les conditions liées au plan de secours, à l'exception des diminutions des retraites.
Le premier ministre Lucas Papademos a cependant assuré qu'un consensus serait dégagé en cours de journée, tirant l'euro vers un pic des huit dernières semaines face à son homologue américain.
Le pays doit mettre la dernière main à son programme de restructuration de la dette d'ici début mars afin de se voir attribuer 130 milliards d'euros d'aides financières et ainsi éviter une défaut de paiement qui pourrait avoir de fâcheuses conséquences.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.25% de son côté pour se situer à 78.53, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, aant tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'ascension s'est toutefois retrouvée freinée par l'étude du bureau national des statistiques de Chine annonçant que l'inflation des prix à la consommation s'était située en janvier de 4.5% après ajustement financier, contre seulement 4.1% en décembre.
L'indice des prix au détail a d'autre part bondi de 1.5% en janvier, sa plus forte progression mensuelle des quatre années écoulées.
Ces résultats ont éclipsé l'attente d'un assouplissement monétaire à court terme pour relancer la croissance de la seconde économie de la planète.
Les acteurs du marché continuaient de surveiller la controverse entre l'Occident et l'Iran, ce dernier ayant renouvelé sa promesse de bloquer le trafic du Détroit d'Ormuz en réponse aux nouvelles sanctions américaines lui ayant été infligées.
Il demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production du globe en 2010, et le spectre d'une perturbation des livraisons qui en dépendent a contribué à soutenir les cours de ces dernières semaines.
Les experts attendaient aussi les prédictions de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole concernant les besoins mondiaux devant être communiquées aujourd'hui et celles de l'Agence Internationale de l'Energie prévues pour demain.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.52% pour grimper à 117.81 USD du baril dans le même temps, soit 18.67 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux s'était déjà élargi mardi à plus de 20 USD par baril, son plus haut niveau depuis octobre.
Les prix Brent avaient pris le large ces derniers jours, en raison de la crainte d'une perturbation des approvisionnements provenant des producteurs africains, notamment le Nigeria et le Sud-Soudan, mais aussi de la vague de froid intense touchant l'Europe.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 99.14 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.45%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.3 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.5% d'amélioration, après avoir atteint hier les 100.07 USD, leur meilleur niveau depuis le 31 janvier.
Les dirigeants de la coalition hellène au pouvoir étaient sur le point d'accepter de mettre hier soir en place les mesures d'austérité après s'être mis d'accord lors de leurs tractations sur toutes les conditions liées au plan de secours, à l'exception des diminutions des retraites.
Le premier ministre Lucas Papademos a cependant assuré qu'un consensus serait dégagé en cours de journée, tirant l'euro vers un pic des huit dernières semaines face à son homologue américain.
Le pays doit mettre la dernière main à son programme de restructuration de la dette d'ici début mars afin de se voir attribuer 130 milliards d'euros d'aides financières et ainsi éviter une défaut de paiement qui pourrait avoir de fâcheuses conséquences.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.25% de son côté pour se situer à 78.53, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, aant tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
L'ascension s'est toutefois retrouvée freinée par l'étude du bureau national des statistiques de Chine annonçant que l'inflation des prix à la consommation s'était située en janvier de 4.5% après ajustement financier, contre seulement 4.1% en décembre.
L'indice des prix au détail a d'autre part bondi de 1.5% en janvier, sa plus forte progression mensuelle des quatre années écoulées.
Ces résultats ont éclipsé l'attente d'un assouplissement monétaire à court terme pour relancer la croissance de la seconde économie de la planète.
Les acteurs du marché continuaient de surveiller la controverse entre l'Occident et l'Iran, ce dernier ayant renouvelé sa promesse de bloquer le trafic du Détroit d'Ormuz en réponse aux nouvelles sanctions américaines lui ayant été infligées.
Il demeure le quatrième extracteur mondial, avec près de 5% de la production du globe en 2010, et le spectre d'une perturbation des livraisons qui en dépendent a contribué à soutenir les cours de ces dernières semaines.
Les experts attendaient aussi les prédictions de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole concernant les besoins mondiaux devant être communiquées aujourd'hui et celles de l'Agence Internationale de l'Energie prévues pour demain.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.52% pour grimper à 117.81 USD du baril dans le même temps, soit 18.67 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'écart entre les deux s'était déjà élargi mardi à plus de 20 USD par baril, son plus haut niveau depuis octobre.
Les prix Brent avaient pris le large ces derniers jours, en raison de la crainte d'une perturbation des approvisionnements provenant des producteurs africains, notamment le Nigeria et le Sud-Soudan, mais aussi de la vague de froid intense touchant l'Europe.