Investing.com - Les bourses européennes ne svaient pas sur quel pied danser ce lundi, après que l'Espagne ait fait savoir que son économie avait moins reculé qu'il n'évait été redouté, mais que les craintes concerant une éventuelle aggravation du surendettement national persistaient.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.41% et le CAC 40 français de 0.54%, mais le DAX 30 allemand arrachait 0.17%.
Des résultats officiels ont en effet montré que le produit intérieur brut espagnol avait diminué de 0.3% au premier trimestre, comme pour le précédent, replongeant ainsi le pays dans la récession, bien que les experts aient redouté un revers de 0.4%.
Le moral avait déjà été entamé par l'agence de Standard & Poor's, rabaissant jeudi de deux crans son estimation de la fiabilité monétaire à long terme de l'Espagne depuis A vers BBB+, et la mettantt sous une perspective négative, invoquant les difficultés induites par le repli économique national dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
Il a toutefois été indiqué ce lundi matin que les ventes au détail allemandes avaient gagné comme prévu 0.8% en mars, après avoir glissé de 0.9% le mois précédent.
La finance se trouvait en bonne forme, l'italien Unicredi en tête avec 1.76%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais avec 1.48%.
Les français Société Générale et BNP Paribas ont suivi le mouvement avec respectivement 1.65 et 0.95%, tandis que l'allemand Commerzbank bondissait de 2.93%.
Nokia Finland se trouvait aussi au tableau d'honneur, grimpant de 2.56% bien que Standard & Poor's l'ait rabaissée vendredi jusqu'à un niveau indésirable, se retrouvant ainsi la seconde agence à estimer que les investissements dans le fabricant de téléphones finnois étaient peu judicieux, suite aux pertes subies par sa branche vendant des combinés.
Les constructeurs automobiles étaient également en bonne position, Volkswagen raflant 1.53%, Daimler et BMW se contentant de 0.75 et 0.42%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, s'est rétracté de 0.22%, tiré vers le bas par les secteurs minier et énergétique.
Rio Tinto a ainsi reculé de 0.48%, alors que la compagnie se préparait à augmenter d'au moins 50% au cours des prochaines années le volume de sa main-d'oeuvre employée à Pilbara, en Australie Occidentale.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys on également subi 0.23 et 0.14% de réduction, International Power laissant pour sa part échapper 0.05%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking dgringolant de 0.74%, Barclays de 0.4% et HSBC Holdings limitant les dégâts à 0.05%.
La Royal Bank of Scotland a quand à elle encaissé 0.45% après qu'il ait été révélé que ses parts détenues par l'état pourraient être revendues dès deux ans, soit une attente nettement inférieure à celle suggérée par le gouvernement et elle-même.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.06%, celles sur le S&P 500 attendant un hoquet de 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 0.02% de rétraction.
La zone euro devrait d'autre part dévoiler aujourd'hui les évaluations préliminaires de son inflation.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même avec une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.41% et le CAC 40 français de 0.54%, mais le DAX 30 allemand arrachait 0.17%.
Des résultats officiels ont en effet montré que le produit intérieur brut espagnol avait diminué de 0.3% au premier trimestre, comme pour le précédent, replongeant ainsi le pays dans la récession, bien que les experts aient redouté un revers de 0.4%.
Le moral avait déjà été entamé par l'agence de Standard & Poor's, rabaissant jeudi de deux crans son estimation de la fiabilité monétaire à long terme de l'Espagne depuis A vers BBB+, et la mettantt sous une perspective négative, invoquant les difficultés induites par le repli économique national dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
Il a toutefois été indiqué ce lundi matin que les ventes au détail allemandes avaient gagné comme prévu 0.8% en mars, après avoir glissé de 0.9% le mois précédent.
La finance se trouvait en bonne forme, l'italien Unicredi en tête avec 1.76%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais avec 1.48%.
Les français Société Générale et BNP Paribas ont suivi le mouvement avec respectivement 1.65 et 0.95%, tandis que l'allemand Commerzbank bondissait de 2.93%.
Nokia Finland se trouvait aussi au tableau d'honneur, grimpant de 2.56% bien que Standard & Poor's l'ait rabaissée vendredi jusqu'à un niveau indésirable, se retrouvant ainsi la seconde agence à estimer que les investissements dans le fabricant de téléphones finnois étaient peu judicieux, suite aux pertes subies par sa branche vendant des combinés.
Les constructeurs automobiles étaient également en bonne position, Volkswagen raflant 1.53%, Daimler et BMW se contentant de 0.75 et 0.42%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, s'est rétracté de 0.22%, tiré vers le bas par les secteurs minier et énergétique.
Rio Tinto a ainsi reculé de 0.48%, alors que la compagnie se préparait à augmenter d'au moins 50% au cours des prochaines années le volume de sa main-d'oeuvre employée à Pilbara, en Australie Occidentale.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys on également subi 0.23 et 0.14% de réduction, International Power laissant pour sa part échapper 0.05%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking dgringolant de 0.74%, Barclays de 0.4% et HSBC Holdings limitant les dégâts à 0.05%.
La Royal Bank of Scotland a quand à elle encaissé 0.45% après qu'il ait été révélé que ses parts détenues par l'état pourraient être revendues dès deux ans, soit une attente nettement inférieure à celle suggérée par le gouvernement et elle-même.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0.06%, celles sur le S&P 500 attendant un hoquet de 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 0.02% de rétraction.
La zone euro devrait d'autre part dévoiler aujourd'hui les évaluations préliminaires de son inflation.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même avec une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.