Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que le manque de confiance des investisseurs dans la zone euro aggravait encore les perspectives de croissance économique mondiales, jugulant du même coup la demande pour les investissements plus risqués.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.09% pour tomber à 1.3095.
La popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après qu'il ait été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc où elle a cours avait connu pour avril une détérioration inattendue, se maintenant d'autre part en territoire négatif pour le neuvième mois d'affilée.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet évoué que son indice de celle-ci avait plongé à -14.7, contre -8.2 auparavant, et ce alors que les experts espéraient un sursaut minime à -8.1.
Les craintes liées à la crise de la dette en zone euro n'ont pas constribué à rassurer, les taux des bons décennaux espagnols s'étant élevés dans la matinée à 5.8%, bien que le gouvernement du pays ait confirmé son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La déception des faibles résultats de l'emploi américain divulgués vendredi a encore renforcé le doute concernant la vigueur de la relance de l'économie du pays, et ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de .16% pour chuter à 1.5865.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient auparavant signalé que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.28% pour glisser à 81.26 et l'USD/CHF grignotant 0.08% pour culminer à 0.9178.
La banque centrale japonaise avait maintenu sans surprise ce matin son taux de base aux abords de zéro et n'a pas non plus modifié son programme d'achats de 30 billions de JPY d'actifs.
Elle a précisé qu'aucun des membres de son conseil n'avait proposé de nouveaux assouplissements lors des deux jours de réunion conclus dans la matinée, bien que les observateurs s'attendent à ce que des changements interviennent lors de leur prochaine rencontre, prévue pour le 27 avril.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 0.9984, l'AUD/USD cédant 0.21% pour se retrouver à 1.0291 et le NZD/USD se laissant arracher 0.39% pour toucher le fond à 0.8185.
La popularité de ces dernières, fortement dépendantes de la croissance, a été ternie en début de matinée par l'étude émanant des autorités chinoises soulignant une forte diminution des importations nationales en mars, mettant à mal les perspectives d'expansion de l'économie planétaire.
Le commerce extérieur de la Chine a donc enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, l'imports n'ayant progressé que de 5.3% après avoir enregistré pour février une explosion de 39.6%.
Il avait auparavant été montré que le baromètre de la confiance dans les affaires australiennes était monté à 3 pour le mois dernier, contre 1 pour le précédent.
Cette information faisait suite à une autre, faisant savoir que le nombbre des offres d'emploi publiées dans le pays avait gagné 1% dans le même temps, après avoir déjà gagné 3.3% en février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.07% pour se situer à 80.02.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.09% pour tomber à 1.3095.
La popularité de la monnaie unique a pris du plomb dans l'aile après qu'il ait été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc où elle a cours avait connu pour avril une détérioration inattendue, se maintenant d'autre part en territoire négatif pour le neuvième mois d'affilée.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet évoué que son indice de celle-ci avait plongé à -14.7, contre -8.2 auparavant, et ce alors que les experts espéraient un sursaut minime à -8.1.
Les craintes liées à la crise de la dette en zone euro n'ont pas constribué à rassurer, les taux des bons décennaux espagnols s'étant élevés dans la matinée à 5.8%, bien que le gouvernement du pays ait confirmé son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La déception des faibles résultats de l'emploi américain divulgués vendredi a encore renforcé le doute concernant la vigueur de la relance de l'économie du pays, et ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de .16% pour chuter à 1.5865.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient auparavant signalé que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.28% pour glisser à 81.26 et l'USD/CHF grignotant 0.08% pour culminer à 0.9178.
La banque centrale japonaise avait maintenu sans surprise ce matin son taux de base aux abords de zéro et n'a pas non plus modifié son programme d'achats de 30 billions de JPY d'actifs.
Elle a précisé qu'aucun des membres de son conseil n'avait proposé de nouveaux assouplissements lors des deux jours de réunion conclus dans la matinée, bien que les observateurs s'attendent à ce que des changements interviennent lors de leur prochaine rencontre, prévue pour le 27 avril.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 0.9984, l'AUD/USD cédant 0.21% pour se retrouver à 1.0291 et le NZD/USD se laissant arracher 0.39% pour toucher le fond à 0.8185.
La popularité de ces dernières, fortement dépendantes de la croissance, a été ternie en début de matinée par l'étude émanant des autorités chinoises soulignant une forte diminution des importations nationales en mars, mettant à mal les perspectives d'expansion de l'économie planétaire.
Le commerce extérieur de la Chine a donc enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, l'imports n'ayant progressé que de 5.3% après avoir enregistré pour février une explosion de 39.6%.
Il avait auparavant été montré que le baromètre de la confiance dans les affaires australiennes était monté à 3 pour le mois dernier, contre 1 pour le précédent.
Cette information faisait suite à une autre, faisant savoir que le nombbre des offres d'emploi publiées dans le pays avait gagné 1% dans le même temps, après avoir déjà gagné 3.3% en février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.07% pour se situer à 80.02.