Investing.com - Le dollar U.S. est resté largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, la demande pour les investissements les plus risqués ayant été encouragée par les propos tenus vendredi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a à peine fléchi devant lui, l'EUR/USD se laissant rogner 0.01% pour trébucher à 1.4496.
La monnaie unique s'était retrouvée sur la sellette alors qu'approchait la réunion du comité parlementaire économique européen de cet après-midi, destinée à discuter de la crise de la dette souveraine du bloc.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.6383.
Lors de son discours de vendredi à l'université d'été de la banque centrale américaine, M. Bernanke a déclaré que celle-ci se remettait et que la Fed avait encore "une gamme d'outils" à sa disposition pour en encourager la croissance.
Il a d'autre part subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY hoquetant de 0.02% pour se retrouver à 76.64 et l'USD/CHF engrangeant 1.23% pour bondir à 0.816.
La devise helvétique s'est trouvée affaiblie après que l'UBS, un des plus gros acteurs financiers du pays, ait déclaré vendredi qu'elle pourrait commencer à faire payer à ses banques clientes des frais de dépôt, pour tenter de décourager l'accumulation de la monnaie nationale, servant de valeur refuge face à la volatilité des marchés financiers.
Au Japon, Yoshihiko Noda, le ministre des finances, a été élu à la tête du parti démocrate du pays actuellement au pouvoir, garantissant quasiment son accession prochaine au poste de premier ministre.
L'étalon américain a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.48% pour aller vers 0.9769, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0618 et le NZD/USD engrangeant 0.61% pour culminer à 0.8447.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.02% pour se situer à 73.75.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi leur nombre des ventes de logements en cours, et le gouvernement ses résultats concernant les revenus personnels et les prix au détail.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a à peine fléchi devant lui, l'EUR/USD se laissant rogner 0.01% pour trébucher à 1.4496.
La monnaie unique s'était retrouvée sur la sellette alors qu'approchait la réunion du comité parlementaire économique européen de cet après-midi, destinée à discuter de la crise de la dette souveraine du bloc.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.6383.
Lors de son discours de vendredi à l'université d'été de la banque centrale américaine, M. Bernanke a déclaré que celle-ci se remettait et que la Fed avait encore "une gamme d'outils" à sa disposition pour en encourager la croissance.
Il a d'autre part subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY hoquetant de 0.02% pour se retrouver à 76.64 et l'USD/CHF engrangeant 1.23% pour bondir à 0.816.
La devise helvétique s'est trouvée affaiblie après que l'UBS, un des plus gros acteurs financiers du pays, ait déclaré vendredi qu'elle pourrait commencer à faire payer à ses banques clientes des frais de dépôt, pour tenter de décourager l'accumulation de la monnaie nationale, servant de valeur refuge face à la volatilité des marchés financiers.
Au Japon, Yoshihiko Noda, le ministre des finances, a été élu à la tête du parti démocrate du pays actuellement au pouvoir, garantissant quasiment son accession prochaine au poste de premier ministre.
L'étalon américain a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.48% pour aller vers 0.9769, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0618 et le NZD/USD engrangeant 0.61% pour culminer à 0.8447.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.02% pour se situer à 73.75.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi leur nombre des ventes de logements en cours, et le gouvernement ses résultats concernant les revenus personnels et les prix au détail.