Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, son homologue européen souffrant des incertitudes politiques espagnoles et italiennes, tout en restant à portée de tir de son pic de plus de deux ans contre le nippon.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.63% pour tomber à 1.3555, se trouvant jeté dans une ornière journalière.
Le taux appliqué aux obligations décennales d'Espagne est du coup remonté de 5.21% vendredi à 5.34% en ce début de semaine, alors que Mariano Rajoy, son premier ministre, devait subir des appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
A Madrid, le ministère du travail avait révélé ce matin que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté de 132 055 incriptions, soit 2.7% d'un total de 4.98 millions en janvier.
Les coûts des emprunts à dix ans de l'Italie ont quand à eux grimpé jusqu'à 4.42% en raison de l'inconnue concernant le résultat des prochaines élections, alors que l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi semblait prendre de l'ampleur dans les sondages.
Le billet vert a par contre cédé du terrain au yen, l'USD/JPY se rétactant de 0.17% pour se reprendre pied à 92.6, gravitant cependant autour de son plus haut niveau en deux ans et demi.
La devise nippone restait en effet sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Son adversaire avait quand à lui repris des couleurs après qu'une étude officielle avait alors annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé un nombre d'emplois modeste, mais que les nombres des embauchés de novembre et décembre avaient tous deux été revus en forte hausse.
La livre sterling a fait mieux que résister à sa pression, le GBP/USD arrachant 0.23% pour s'élever à 1.5733, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.29% pour culminer à 0.911.
Une étude avait montré ce matin que l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment du Royaume-Uni s'était maitenu à 48.7 en janvier, alors qu'une amélioration à 49.1 était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne l'USD/CAD frémissant 0.1% pour dmonter à 0.9973, l'AUD/USD gagnant 0.21% pour se retrouver à 1.043 et le NZD/USD se renforçait de 0.11% culminer à 0.8462.
Les autorités d'Australie avaient pour leur part fait savoir à l'aube que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés en décembre avait dégringolé de 4.4%, alors qu'un frémissement de 1% était envisagé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.34% pour se situer à 79.49.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.63% pour tomber à 1.3555, se trouvant jeté dans une ornière journalière.
Le taux appliqué aux obligations décennales d'Espagne est du coup remonté de 5.21% vendredi à 5.34% en ce début de semaine, alors que Mariano Rajoy, son premier ministre, devait subir des appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
A Madrid, le ministère du travail avait révélé ce matin que le nombre des demandeurs d'emploi avait moins augmenté de 132 055 incriptions, soit 2.7% d'un total de 4.98 millions en janvier.
Les coûts des emprunts à dix ans de l'Italie ont quand à eux grimpé jusqu'à 4.42% en raison de l'inconnue concernant le résultat des prochaines élections, alors que l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi semblait prendre de l'ampleur dans les sondages.
Le billet vert a par contre cédé du terrain au yen, l'USD/JPY se rétactant de 0.17% pour se reprendre pied à 92.6, gravitant cependant autour de son plus haut niveau en deux ans et demi.
La devise nippone restait en effet sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Son adversaire avait quand à lui repris des couleurs après qu'une étude officielle avait alors annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé un nombre d'emplois modeste, mais que les nombres des embauchés de novembre et décembre avaient tous deux été revus en forte hausse.
La livre sterling a fait mieux que résister à sa pression, le GBP/USD arrachant 0.23% pour s'élever à 1.5733, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.29% pour culminer à 0.911.
Une étude avait montré ce matin que l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment du Royaume-Uni s'était maitenu à 48.7 en janvier, alors qu'une amélioration à 49.1 était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne l'USD/CAD frémissant 0.1% pour dmonter à 0.9973, l'AUD/USD gagnant 0.21% pour se retrouver à 1.043 et le NZD/USD se renforçait de 0.11% culminer à 0.8462.
Les autorités d'Australie avaient pour leur part fait savoir à l'aube que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés en décembre avait dégringolé de 4.4%, alors qu'un frémissement de 1% était envisagé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.34% pour se situer à 79.49.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès des usines.