Investing.com - Les options sur le brut étaient à la peine en fin de semaine, pour finir à leur plus bas niveau du mois, les investisseurs assurant leurs bénéfice à l'approche de l'expiration du contrat pour février sur fond de discussions concernant la restructuration de la dette souveraine grecque.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 98.46 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, qui correspondait à leur expiration.
Celle-ci entraîne souvent des sessions chaotiques, les acteurs des marchés cherchant à clôturer leurs positions ou modifier leurs portefeuilles.
Leurs homologues pour mars ont été davantage actifs, se retrouvant à 98.39 USD du baril au même moment, cédant ainsi 0.6% en cours de semaine, leur pire niveau depuis le 21 décembre.
Ils étaient redescendus ce jour-là sous la barre cruciale des 100 USD du baril alors que les négociations entre la Grèce et ses créanciers se poursuivaient pour la troisième journée consécutive.
Les représentants de la première avaient toutefois annoncé ce jour-là être proches d'un accord avec les seconds dans le cadre du rééchelonnement du fardeau de la dette, afin d'effacer 100 milliards d'euros des 360 milliards que compte son ardoise et s'assurer du même coup de bénéficier de la prochaine tranche d'aides internationales.
Les prix avaient aussi été sapés par l'évaluation préliminaire de l'indice de l'activité manufacturière chinoise élaboré par HSBC, ne montrant qu'un faible ralentissement de son effritement pour janvier.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande, dont le pouls dépend de la santé de ses usines.
Ils avaient culminé jeudi à 102.23 USD après que les enchères de dettes espagnoles et françaises aient rencontré l'enhousiasme des investisseurs, et qu'une étude ait montré que les nouvelles inscriptions au chômage avaient plongé pour la semaine dernière aux abords d'un creux de près de quatre ans.
Cette tendance s'est toutefois inversée après que l'inventaire hebdomadaire des réserves de brut et d'essence aient montré des besoins en repli, la consommation de la seconde dégringolant à 8 millions de barils par jour la semaine dernière, la plus faible depuis septembre 2001, les réserves engrangeant 3.72 millions de barils pour en totaliser 227.5 millions, établissant ainsi un sommet des 10 derniers mois.
Les Etats-Unis restent les premiers demandeurs de pétrole au monde, avec près de 22% des besoins de la planète.
Les cours ont toutefois continué à bénéficier de l'angoisse d'une éventuelle perturbation des exportations provenant d'Iran, les ministres des affaires étrangères de l'Union Européenne devant décider lors de leur réunion du 23 janvier à Bruxelles des sanctions proposées à l'encontre de celles-ci.
L'Iran n'est en effet autre que le quatrième extracteur d'or noir du monde avec près de 5% de la production du monde en 2010, et la menace d'une interruption des approvisionnements en déccoulant a contribué à tirer les prix vers le haut au cours des dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont cédé 0.43% pour descendre à 110.11 USD du baril dans le même temps, soit 11.72 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les observateurs garderont à l'oeil la semaine prochaine l'évolution de la situation en zone euro, ses ministres des finances devant se réunir lundi à Bruxelles, avec probablement la restructuration de la dette grecque à l'ordre du jour.
Ils surveilleront aussi de près les résultats de la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de jeudi, ainsi que les résultats préliminaires du produit intérieur brut américain.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 98.46 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, qui correspondait à leur expiration.
Celle-ci entraîne souvent des sessions chaotiques, les acteurs des marchés cherchant à clôturer leurs positions ou modifier leurs portefeuilles.
Leurs homologues pour mars ont été davantage actifs, se retrouvant à 98.39 USD du baril au même moment, cédant ainsi 0.6% en cours de semaine, leur pire niveau depuis le 21 décembre.
Ils étaient redescendus ce jour-là sous la barre cruciale des 100 USD du baril alors que les négociations entre la Grèce et ses créanciers se poursuivaient pour la troisième journée consécutive.
Les représentants de la première avaient toutefois annoncé ce jour-là être proches d'un accord avec les seconds dans le cadre du rééchelonnement du fardeau de la dette, afin d'effacer 100 milliards d'euros des 360 milliards que compte son ardoise et s'assurer du même coup de bénéficier de la prochaine tranche d'aides internationales.
Les prix avaient aussi été sapés par l'évaluation préliminaire de l'indice de l'activité manufacturière chinoise élaboré par HSBC, ne montrant qu'un faible ralentissement de son effritement pour janvier.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde après les Etats-Unis, et la principale responsable de l'augmentation de la demande, dont le pouls dépend de la santé de ses usines.
Ils avaient culminé jeudi à 102.23 USD après que les enchères de dettes espagnoles et françaises aient rencontré l'enhousiasme des investisseurs, et qu'une étude ait montré que les nouvelles inscriptions au chômage avaient plongé pour la semaine dernière aux abords d'un creux de près de quatre ans.
Cette tendance s'est toutefois inversée après que l'inventaire hebdomadaire des réserves de brut et d'essence aient montré des besoins en repli, la consommation de la seconde dégringolant à 8 millions de barils par jour la semaine dernière, la plus faible depuis septembre 2001, les réserves engrangeant 3.72 millions de barils pour en totaliser 227.5 millions, établissant ainsi un sommet des 10 derniers mois.
Les Etats-Unis restent les premiers demandeurs de pétrole au monde, avec près de 22% des besoins de la planète.
Les cours ont toutefois continué à bénéficier de l'angoisse d'une éventuelle perturbation des exportations provenant d'Iran, les ministres des affaires étrangères de l'Union Européenne devant décider lors de leur réunion du 23 janvier à Bruxelles des sanctions proposées à l'encontre de celles-ci.
L'Iran n'est en effet autre que le quatrième extracteur d'or noir du monde avec près de 5% de la production du monde en 2010, et la menace d'une interruption des approvisionnements en déccoulant a contribué à tirer les prix vers le haut au cours des dernières semaines.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont cédé 0.43% pour descendre à 110.11 USD du baril dans le même temps, soit 11.72 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les observateurs garderont à l'oeil la semaine prochaine l'évolution de la situation en zone euro, ses ministres des finances devant se réunir lundi à Bruxelles, avec probablement la restructuration de la dette grecque à l'ordre du jour.
Ils surveilleront aussi de près les résultats de la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de jeudi, ainsi que les résultats préliminaires du produit intérieur brut américain.