Investing.com - Le dollar U.S. était sans direction claire face à la plupart de ses concurrents ce mardi, la méfiance restant à l'ordre du jour dans l'expectative des réunions cruciales de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne du milieu de semaine.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour frémir à 1.2268.
La monnaie unique gardait le sourire à l'approche de la réunion d'orientation de la BCE prévue jeudi, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à protéger le bloc euro de l'implosion par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont ravivé l'espoir qu'elle pourrait bientôt réactiver son programme d'achats de bons du trésor, afin d'aider à diminuer les coûts des emprunts espagnols et italiens, mais la prudence restait toutefois de mise, la possibilité d'une déception restant présente dans tous les esprits.
Des informations de sources officielle avaient d'autre part montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient subi un recul inattendu de 0.1% en juin, prolongeant les 0.3% précédents, tandis que les dépenses des consommateurs français augmentaient de 0.1% dans le même temps, alors que 0.2% étaient espérés.
Le taux de chômage germanique est par contre resté stable sans surprise à 6.8% pour la période considérée.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.13% pour glisser à 1.569.
Un rapport du groupe de recherches économiques Gfk indiquait aujourd'hui que son baromètre de la confiance des consommateurs britanniques était demeuré stable à -29 pour juillet, décevant ceuxqui espéraient le voir se hisser à -28.
La devise de la Grande-Bretagne s'était déjà retrouvée sur la sellette après qu'une étude gouvernementale ait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.14% pour se retrouver à 78.28, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.07% pour descendre à 0.979.
Des informations émanant des autorités japonaises avaient pour leur part souligné en début de matinée que les revenus nets avaient reculé en juin de manière inattendue, glissant de 0.6%, et d'autres que les dépenses des ménages n'avaient augmenté que de 1.6% dans le même temps, au lieu des 3% envisagés.
Il avait auparavant été à noter que l'activité manufacturière nippone était demeurée en territoire négatif pour le second mois d'affilée en juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 1.0015, l'AUD/USD raflant 0.06% pour monter à 1.0509 et le NZD/USD engrangeant 0.03% pour culminer à 0.8092.
La National Bank of New Zealand avait auparavant déclaré que son indice de la confiance dans les affaires était monté de 12.6 jusqu'à 15.1 en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 82.86.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de demain étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour frémir à 1.2268.
La monnaie unique gardait le sourire à l'approche de la réunion d'orientation de la BCE prévue jeudi, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à protéger le bloc euro de l'implosion par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont ravivé l'espoir qu'elle pourrait bientôt réactiver son programme d'achats de bons du trésor, afin d'aider à diminuer les coûts des emprunts espagnols et italiens, mais la prudence restait toutefois de mise, la possibilité d'une déception restant présente dans tous les esprits.
Des informations de sources officielle avaient d'autre part montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient subi un recul inattendu de 0.1% en juin, prolongeant les 0.3% précédents, tandis que les dépenses des consommateurs français augmentaient de 0.1% dans le même temps, alors que 0.2% étaient espérés.
Le taux de chômage germanique est par contre resté stable sans surprise à 6.8% pour la période considérée.
La livre sterling a par contre cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.13% pour glisser à 1.569.
Un rapport du groupe de recherches économiques Gfk indiquait aujourd'hui que son baromètre de la confiance des consommateurs britanniques était demeuré stable à -29 pour juillet, décevant ceuxqui espéraient le voir se hisser à -28.
La devise de la Grande-Bretagne s'était déjà retrouvée sur la sellette après qu'une étude gouvernementale ait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.14% pour se retrouver à 78.28, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.07% pour descendre à 0.979.
Des informations émanant des autorités japonaises avaient pour leur part souligné en début de matinée que les revenus nets avaient reculé en juin de manière inattendue, glissant de 0.6%, et d'autres que les dépenses des ménages n'avaient augmenté que de 1.6% dans le même temps, au lieu des 3% envisagés.
Il avait auparavant été à noter que l'activité manufacturière nippone était demeurée en territoire négatif pour le second mois d'affilée en juillet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 1.0015, l'AUD/USD raflant 0.06% pour monter à 1.0509 et le NZD/USD engrangeant 0.03% pour culminer à 0.8092.
La National Bank of New Zealand avait auparavant déclaré que son indice de la confiance dans les affaires était monté de 12.6 jusqu'à 15.1 en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 82.86.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de demain étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.