Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que se profilaient des signes tendant à indiquer que la Grèce était sur le point de résoudre le problème de la restructuration de sa dette et de l'obtention de nouvelles aides.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour grimper à 1.3274.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait aujourd'hui tenir des pourparlers avec les dirigeants des trois principaux partis politiques nationaux afin de discuter du contenu des nouvelles mesures d'austérité exigées en échange des 130 milliards d'euros du programme de secours.
Ces contreparties, fortement impopulaires, comprennent des milliards d'euros de coupes dans les dépenses gouvernementales, ainsi que des diminutions des salaires et des retraites.
Athènes est également en pourparlers avec ses créanciers privés pour une proposition d'échange de 100 milliards d'obligations, faisant elle aussi partie des conditions sine qua non de la proposition de renflouement.
La monnaie unique avait fait peu de cas de l'étude officielle signalant ce matin que les exportations allemandes avaient subi en décembre leur diminution la plus rapide en près de trois ans, ramenant l'excédent du commerce extérieur du pays de 14.9 vers 13.9 milliards d'euros.
Cette information laissait pourtant à craindre que l'estimation prévoyant un recul de 0.25% de l'économie de la zone euro au quatrième trimestre ait encore à être aggravée.
La Banque de France avait auparavant avoué que l'économie du pays stagnerait pour le premier trimestre 2012.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD sapant 0.03% pour se hisser à 1.5898.
Les observateurs guettaient impatiemment la décision de demain sur les taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre, espérant l'ajout de 50 milliards de GBP d'assouplissement quantitatif fin de renflouer une croissance britannique chancelante.
Le yen et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.2% pour se hisser à 76.91 et l'USD/CHF avançant de 0.1% pour monter à 0.9126.
Des chiffres de sources gouvernementale avaient auparavant montré que le taux de chômage helvétique était, comme prévu, demeuré stable à 3.1% le mois dernier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 0.9944, l'AUD/USD raflant 0.26% pour monter à 1.0835 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.8394.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a quand à lui hoqueté de 0.02% pour chuter à 78.58.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître dans la journée leur inventaire des réserves pétrolières du pays.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait fait savoir hier que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les chiffres de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé à son plus bas niveau en trois ans.
Lors de son témoignage devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il avait affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant du travail ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour grimper à 1.3274.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait aujourd'hui tenir des pourparlers avec les dirigeants des trois principaux partis politiques nationaux afin de discuter du contenu des nouvelles mesures d'austérité exigées en échange des 130 milliards d'euros du programme de secours.
Ces contreparties, fortement impopulaires, comprennent des milliards d'euros de coupes dans les dépenses gouvernementales, ainsi que des diminutions des salaires et des retraites.
Athènes est également en pourparlers avec ses créanciers privés pour une proposition d'échange de 100 milliards d'obligations, faisant elle aussi partie des conditions sine qua non de la proposition de renflouement.
La monnaie unique avait fait peu de cas de l'étude officielle signalant ce matin que les exportations allemandes avaient subi en décembre leur diminution la plus rapide en près de trois ans, ramenant l'excédent du commerce extérieur du pays de 14.9 vers 13.9 milliards d'euros.
Cette information laissait pourtant à craindre que l'estimation prévoyant un recul de 0.25% de l'économie de la zone euro au quatrième trimestre ait encore à être aggravée.
La Banque de France avait auparavant avoué que l'économie du pays stagnerait pour le premier trimestre 2012.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD sapant 0.03% pour se hisser à 1.5898.
Les observateurs guettaient impatiemment la décision de demain sur les taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre, espérant l'ajout de 50 milliards de GBP d'assouplissement quantitatif fin de renflouer une croissance britannique chancelante.
Le yen et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.2% pour se hisser à 76.91 et l'USD/CHF avançant de 0.1% pour monter à 0.9126.
Des chiffres de sources gouvernementale avaient auparavant montré que le taux de chômage helvétique était, comme prévu, demeuré stable à 3.1% le mois dernier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 0.9944, l'AUD/USD raflant 0.26% pour monter à 1.0835 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.8394.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a quand à lui hoqueté de 0.02% pour chuter à 78.58.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître dans la journée leur inventaire des réserves pétrolières du pays.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait fait savoir hier que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les chiffres de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé à son plus bas niveau en trois ans.
Lors de son témoignage devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il avait affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant du travail ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.