Investing.com - Le dollar U.S. gardait en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, les bons résultats américains apaisant les craintes concernant les perspectives économiques, tandis que l'attente d'une initiative de la Banque Centrale Européenne dans la lutte contre la crise de la dette de la zone euro diminuait, nuisant au goût pour le risque.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.45% pour tomber à 1.2309.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé que le nombre des nouveaux inscrits au chmôage de la semaine dernière était retombé de 367 000 après révision vers le haut jusqu'à 361 000, alors que les experts redoutaient de la voir grimper à 370 000.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur national était passé de 48 milliards d'USD revus à la baisse à 42.9 milliards en juin.
Les analystes avaient auparavant estimé que cette réduction l'amènerait à 47.5 milliards d'USD.
L'espoir d'une action de la BCE destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie se faisait de plus en plus lointain, en attendant l'émergence de détails concernant la prolongation de son programme d'achats de bons du trésor.
Le moral est encore redescendu avec la publication de son bulletin mensuel, rappelant que ses perspectives économiques souffraient de plusieurs risques de baisse, parmi lesquelles les tensions sur les marchés financiers et leur possible impact sur la reprise figuraient en tête.
Ses prédictions de croisssance pour 2013 se sont retrouvées révisées vers le bas avec 0.6%, au lieu de 1% auparavant, déplorant 0.3% de contraction probables pour cette année, soit un peu plus que les 0.2% déjà redoutés.
La monnaie unique s'était auparavant trouvée encouragée par l'enthousiasme découlant de l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de la Chine suite à des informations émanant des autorités du pays soulignant une ralentissement de l'inflation au cours du mois dernier.
Le billet vert a également gagné davantage de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5625.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le solde négatif de la balance commerciale britannique s'avait creusé plus profondément en juin qu'il n'avait été envisagé, se hissant ainsi de 8.36 à 10.1 milliards de GBP, en raison d'un revers de 7% subi par les exportations, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 8.6 milliards pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre avait avoué la veille que l'économie britannique connaîrait une croissance minimale cette année, rabaissant du même coup les projections pour les années à venir exprimées dans son rapport trimestriel sur l'inflation.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi un accroissement de sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.26% pour monter à 78.63 et l'USD/CHF grignotant 0.46% pour culminer à 0.9758.
La banque centrale nippone avait sans surprise décidé en début de matinée de garder le cap de sa politique monétaire, précisant que son conseil directeur ne fournirait pas de coups de pouce supplémentaires à moins que la flambée du yen se poursuive.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.05% pour se rétracter à 0.9937, l'AUD/USD arrachant 0.02% pour se retrouver à 1.057 et le NZD/USD reculant de 0.39% pour toucher le fond à 0.8114.
Le gouvernement du Canada a quand à lui révélé que le déficit de la balance commerciale nationale avait sans crier gare connu une poussée depuis les 900 millions de CAD après révision en hausse enregistrés en mai jusqu'à 1.8 milliards de CAD.
Il était également souligné que le nombre des lancements de chantiers dansle pays avait connu en juillet un passage à vide supérieur aux craintes.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.31% pour se situer à 82.66.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.45% pour tomber à 1.2309.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé que le nombre des nouveaux inscrits au chmôage de la semaine dernière était retombé de 367 000 après révision vers le haut jusqu'à 361 000, alors que les experts redoutaient de la voir grimper à 370 000.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur national était passé de 48 milliards d'USD revus à la baisse à 42.9 milliards en juin.
Les analystes avaient auparavant estimé que cette réduction l'amènerait à 47.5 milliards d'USD.
L'espoir d'une action de la BCE destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie se faisait de plus en plus lointain, en attendant l'émergence de détails concernant la prolongation de son programme d'achats de bons du trésor.
Le moral est encore redescendu avec la publication de son bulletin mensuel, rappelant que ses perspectives économiques souffraient de plusieurs risques de baisse, parmi lesquelles les tensions sur les marchés financiers et leur possible impact sur la reprise figuraient en tête.
Ses prédictions de croisssance pour 2013 se sont retrouvées révisées vers le bas avec 0.6%, au lieu de 1% auparavant, déplorant 0.3% de contraction probables pour cette année, soit un peu plus que les 0.2% déjà redoutés.
La monnaie unique s'était auparavant trouvée encouragée par l'enthousiasme découlant de l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de la Chine suite à des informations émanant des autorités du pays soulignant une ralentissement de l'inflation au cours du mois dernier.
Le billet vert a également gagné davantage de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5625.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le solde négatif de la balance commerciale britannique s'avait creusé plus profondément en juin qu'il n'avait été envisagé, se hissant ainsi de 8.36 à 10.1 milliards de GBP, en raison d'un revers de 7% subi par les exportations, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 8.6 milliards pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre avait avoué la veille que l'économie britannique connaîrait une croissance minimale cette année, rabaissant du même coup les projections pour les années à venir exprimées dans son rapport trimestriel sur l'inflation.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi un accroissement de sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.26% pour monter à 78.63 et l'USD/CHF grignotant 0.46% pour culminer à 0.9758.
La banque centrale nippone avait sans surprise décidé en début de matinée de garder le cap de sa politique monétaire, précisant que son conseil directeur ne fournirait pas de coups de pouce supplémentaires à moins que la flambée du yen se poursuive.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.05% pour se rétracter à 0.9937, l'AUD/USD arrachant 0.02% pour se retrouver à 1.057 et le NZD/USD reculant de 0.39% pour toucher le fond à 0.8114.
Le gouvernement du Canada a quand à lui révélé que le déficit de la balance commerciale nationale avait sans crier gare connu une poussée depuis les 900 millions de CAD après révision en hausse enregistrés en mai jusqu'à 1.8 milliards de CAD.
Il était également souligné que le nombre des lancements de chantiers dansle pays avait connu en juillet un passage à vide supérieur aux craintes.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.31% pour se situer à 82.66.