Investing.com - Le dollar U.S. n'était toujours pas très en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, dans l'expectative de la publication des chiffres américains du jour, sur fond de trouble au sujet de l'éventuelle diminution des coups de pouce de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,11% pour se retrouver à 98,63.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,02% pour tomber à 1,3375.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a par contre résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5575, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9234.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD chutant de 0,12% pour se retrouver à 0,9015, le NZD/USD empochant 0,36% pour culminer à 0,7836 et l'USD/CAD prenant 0,23% pour monter à 1,0522.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,07% pour se situer à 81,46.
Les yeux étaient désormais tournés vers la publication en fin de journée du volume des commandes de biens durables des Etats-Unis.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,11% pour se retrouver à 98,63.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,02% pour tomber à 1,3375.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a par contre résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5575, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9234.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD chutant de 0,12% pour se retrouver à 0,9015, le NZD/USD empochant 0,36% pour culminer à 0,7836 et l'USD/CAD prenant 0,23% pour monter à 1,0522.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,07% pour se situer à 81,46.
Les yeux étaient désormais tournés vers la publication en fin de journée du volume des commandes de biens durables des Etats-Unis.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.