Investing.com - Le dollar U.S. était en léger recul face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, sur fond de déception entraînée par le chef de l'état japonais, tandis que son équivalent australien subissait encore une croissance inférieure aux prévisions pour les trois premiers mois de l'année.
En fin de première partie de séance européenne, il a à nouveau fléchi sous la barre cruciale des 100 devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,51% pour se retrouver à 99,54.
Le premier ministre Shinzo Abe a dévoilé les grandes lignes de son plan destiné à atteindre grâce à des réformes économiques 2% de croissance annuelle pour le Japon au cours de la décennie à venir, avouant cependant que les évolutions législatives ne pourraient commencer que dans plusieurs mois.
Celui-ci constitue la "troisième flèche" dans son combat contre la déflation, accompagnée d'encouragements fiscaux et monétaires.
Le blason de la devise nippone en tant que valeur refuge s'en trouvait redoré tandis que l'indice Nikkei 225 plongeait de 3,8%.
L'euro s'est contenté de contenir l'assaut, l'EUR/USD trébuchant de 0,13% pour descendre à 1,3061.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après qu'il ait été signalé en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats dans le domaine des services là où elle a cours avait été revu vers le bas depuis les 47,5 évalués au préalable vers 47,2 pour mai, dépassant cependant modérément les 47,0.
Celui de l'Allemagne faisait de même depuis 49,8 vers 49,7 après révision, indiquant là aussi une embellie par rapport aux 49,6 d'avril.
Il était d'autre part à remarquer que les ventes au détail régionales avaient plongé de 0,5% en avril, alors que 0,1% étaient déjà redoutés, sombrant de 1,1% d'une année sur l'autre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,26% pour se hisser à 1,5352.
La monnaie de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir dans la matinée que son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni avait avancé depuis 52,9 vers 54,9 pour mai, faisant ainsi nettement mieux que les 53,0 envisagés.
Le franc suisse a à peine subi sa pression, l'USD/CHF arrachant 0,03% pour prendre pied à 0,9471.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,95% pour chuter à 0,9554, le NZD/USD dérapant de 0,36% pour toucher le fond à 0,7986 et l'USD/CAD progressant de 0,10% pour aller vers 1,0349.
La première s'est retrouvée sur la sellette après qu'il ait été signalé que l'économie de l'Australie avait vu son expansion se limiter à 0,6% pour le premier trimestre, au lieu des 0,8% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 82,77.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait désormais des gorges chaudes, en quête d'indices sur l'étude officielle sur la question qui sera publiée vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura pour sa part la journée avec ses informations sur l'état de leurs prestataires de services.
En fin de première partie de séance européenne, il a à nouveau fléchi sous la barre cruciale des 100 devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,51% pour se retrouver à 99,54.
Le premier ministre Shinzo Abe a dévoilé les grandes lignes de son plan destiné à atteindre grâce à des réformes économiques 2% de croissance annuelle pour le Japon au cours de la décennie à venir, avouant cependant que les évolutions législatives ne pourraient commencer que dans plusieurs mois.
Celui-ci constitue la "troisième flèche" dans son combat contre la déflation, accompagnée d'encouragements fiscaux et monétaires.
Le blason de la devise nippone en tant que valeur refuge s'en trouvait redoré tandis que l'indice Nikkei 225 plongeait de 3,8%.
L'euro s'est contenté de contenir l'assaut, l'EUR/USD trébuchant de 0,13% pour descendre à 1,3061.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après qu'il ait été signalé en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats dans le domaine des services là où elle a cours avait été revu vers le bas depuis les 47,5 évalués au préalable vers 47,2 pour mai, dépassant cependant modérément les 47,0.
Celui de l'Allemagne faisait de même depuis 49,8 vers 49,7 après révision, indiquant là aussi une embellie par rapport aux 49,6 d'avril.
Il était d'autre part à remarquer que les ventes au détail régionales avaient plongé de 0,5% en avril, alors que 0,1% étaient déjà redoutés, sombrant de 1,1% d'une année sur l'autre.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,26% pour se hisser à 1,5352.
La monnaie de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir dans la matinée que son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni avait avancé depuis 52,9 vers 54,9 pour mai, faisant ainsi nettement mieux que les 53,0 envisagés.
Le franc suisse a à peine subi sa pression, l'USD/CHF arrachant 0,03% pour prendre pied à 0,9471.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,95% pour chuter à 0,9554, le NZD/USD dérapant de 0,36% pour toucher le fond à 0,7986 et l'USD/CAD progressant de 0,10% pour aller vers 1,0349.
La première s'est retrouvée sur la sellette après qu'il ait été signalé que l'économie de l'Australie avait vu son expansion se limiter à 0,6% pour le premier trimestre, au lieu des 0,8% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 82,77.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait désormais des gorges chaudes, en quête d'indices sur l'étude officielle sur la question qui sera publiée vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura pour sa part la journée avec ses informations sur l'état de leurs prestataires de services.